Séance de cinéma
Datte: 10/09/2020,
Catégories:
fh,
couple,
fépilée,
cinéma,
amour,
noculotte,
pénétratio,
tutu,
lieuxpubl,
Auteur: Anne Honyme, Source: Revebebe
... façon ce n’était pas le but.
J’avais raison, le film arrive à sa fin, les lumières vont se rallumer d’une minute à l’autre. Je regagne ma place précipitamment. Tu as juste le temps de remonter ton boxer et ton pantalon que les lumières se rallument. Le couple quitte la salle en passant devant nous, ils nous gratifient d’un sourire et d’un « bonsoir » juste soufflé. Ils sont dehors, je te regarde avec complicité, je sais que tu voudrais que je te fasse une belle fellation ici, que je profite de cette belle érection. Seulement, les bénévoles du cinéma vont vouloir fermer, nous ne pouvons rester ici plus longtemps. Tu reboutonnes correctement ton pantalon, on se lève et on quitte à notre tour la salle.
Ton excitation a faibli, mais je sais qu’un rien la ferait repartir.
Nous regagnons le parking pour reprendre la voiture et rentrer chez nous.
La voiture freine sur le gravier devant la maison. Tu as passé tout le trajet avec ta main sur ma cuisse. J’aime ces moments de complicité et de tendresse. Pendant ce temps, j’ai gardé ma main dans tes cheveux, j’adore te caresser à cet endroit pendant que tu conduis, ça te détend.
Nous gravissons les escaliers extérieurs, j’ouvre la porte, tu es derrière moi. J’entre, tu me suis.
À peine dans l’entrée, tu viens tout contre moi, me tourne pour que nos yeux soient ancrés l’un dans l’autre.
Tu ...
... ne peux plus tenir… Le film, ma nudité, le petit avant-goût dans le cinéma… Tu as envie de moi, tu veux jouir en moi et me faire jouir.
Tu remontes ma robe comme tout à l’heure. Tu baisses ton pantalon tout en me gardant contre toi, tu baisses ton boxer et là, sans prévenir, sans autre forme de préliminaires, tu me pénètres… Tu donnes des coups de reins assez brutaux, tu t’écartes pour revenir plus rapidement, tu me jettes dans le canapé et me rejoins dans la seconde qui suit, tu m’obliges à écarter les cuisses pour que tu puisses me lécher la chatte comme tu aimes. Je me laisse faire, tu sais que j’adore ce moment. Les « hostilités » reprennent. Tu entres en moi, tu n’es pas aussi tendre que d’habitude, j’ai l’impression que tu penses d’abord à ton plaisir… Tu me relèves et me mets en position de la levrette… Hummm… Tes mouvements se font plus rapides, plus durs encore, hum hum hum… Cet instant dure dix minutes… Ta jouissance est proche… Je sais que tu vas te lâcher sur mon dos et je n’attends que cela…
— Viens, viens… Hummmmmm ohhhh ouii !
Ta jouissance atteinte, tu me donnes une petite tape sur les fesses, c’est un geste habituel résultant de notre complicité sexuelle.
Essuyée par tes soins, je m’assieds dans le canapé, toujours à moitié nue, la robe relevée.
Tu me dis :
— Il est pas mal mon remake de L’amant. Qu’en as-tu pensé ?