1. Nicole et sa fille. 4.


    Datte: 10/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... l’authentique lesbienne de 24 ans, le temps de lui faire avouer un secret, le secret de la femelle qui désire encore le mâle, qu’elle lui avoue qu’elle aime cette grosse verge noueuse comme un cep.
    
    Mais sa chatte n’a plu connu de vrai pénis et doit déjà se réhabituer à l’intrus.
    
    - Alors la gouine, tu y reprends goût ? Tu as aimé mon jus de couilles, que penses-tu de ceci ?
    
    J’essaie de le raisonner mais il n’en a cure :
    
    -Arrête ! Mais tu es devenu complètement fou, tu vas la blesser!!!
    
    Mais les cris de Stéphanie baissent en intensité et se transforment en gémissements de plaisir.
    
    Il ressort son énorme chibre pour m’enculer à nouveau sans ménagement.
    
    Régulièrement, il change de trous, aussi serrés l’un que l’autre pour y rentrer plus fort encore, recommençant, encore et encore.
    
    Nous crions notre souffrance mais après quelques minutes de ce traitement, des ondes de plaisirs m’envahissent. Il défonce de nouveau Stéphanie que j’entends geindre doucement.
    
    - Alors, ne me dis pas que tu ...
    ... n’aimes pas !
    
    J’entends dans un souffle Stéphanie s'offrant à ses assauts, constatant que son corps réagit mécaniquement, murmurer à mon oreille :
    
    -S’il découvre que j’ai envie de lui, de sa queue énorme, il va me ravager encore plus la chatte. Que m'arrive-t-il? Mon Dieu, je vais jouiiiiiiiiir sous ses coups de bites! Arrgghh, ouiii ! Encore !
    
    Elle pousse maintenant des petits cris qui rythment le pilonnage en règle, resserrant ses cuisses sur le bélier en folie.
    
    Les coups de boutoir sont de plus en plus rudes dans nos orifices si dissemblables.
    
    Ça dure depuis déjà un bon moment, après ses craches précédentes. Il devient résistant prenant un temps infini avant de décharger.
    
    Je sens sa bite grossir, se raidir, l’instant de délivrance est proche, je contracte mon anus pour le garder en moi mais il ne l’entend pas comme ça.
    
    Stéphanie a abdiquer devant le mâle et le supplie :
    
    -Viens ! C’est à moi, laisse Elodie tranquille, je veux encore sentir ta grosse queue m’éclater la chatte !
    
    (A suivre) 
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