Le Graal....Touché.
Datte: 09/09/2020,
Catégories:
Anal
Mature,
Auteur: Voyeuretraite, Source: xHamster
Jusqu'à mes dix-huit ans, rien d'intéressant, quelques unes avaient osées poser une main sur ma braguette, très peu avaient déposé un timide baiser sur mon gland, une s'était couchée.
Et à dix-huit ans et six mois, j'ai touché le Graal, elle se prénommait Eloïse, elle avait trente-deux ans, s'était ma prof de français, une petite blonde d'un mètre cinquante cinq, sans talons, pour quarante kilos, elle était magnifique, toujours souriante.
En novembre, elle avait invité la classe, nous étions quinze jeunes hommes, à prendre un verre chez elle, afin de créer un plus grand esprit de groupe, cinq avaient répondu à l'invitation.
Blessé à une cheville j'avais eu le privilège de monter derrière elle sur sa moto, une Honda 450 Four, à l'arrêt ses pieds posaient à peine le sol, le reste de la troupe faisait le trajet en transports en commun, deux heures de route.
Arrivés dans son appartement, séparée de son mari, sans enfants, elle y vivait seule, nous avions eu le temps de préparer, boissons, amuse bouche, etc, elle de prendre une douche, de se changer.
Elle vint me rejoindre dans le salon vêtue d'une combinaison noire fermée pas entièrement par une fermeture éclair, manifestement sans soutien gorge, les pieds nus, les ongles vernissés de blanc. Me servit un jus, elle deux whisky coca
Alors que nous étions dans la cuisine, elle les mains dans l'évier, j'osais la prendre par la taille, pas d'esquive de sa part me sentant encourager, plié en deux, j'osais un baiser ...
... sur sa joue, elle tourna son visage vers moi, me regarda dans les yeux un petit sourire aux lèvres, j'en déposais un autre sur ses lèvres, pas de rejet, un autre auquel elle répondit, puis le suivant nos bouches s'entrouvrirent, nos langues se découvrirent, s'enroulèrent l'une à l'autre, toujours en apnée, je la soulevais pour l'asseoir sur la table, une coup de sonnette nous fit reprendre notre souffle.
La soirée fut très agréable, ponctuée de rires, d'anecdotes et quand il ne resta que des miettes et que des bouteilles de jus et coca vides, celle de whisky pratiquement vide, vint l'heure du départ pour ceux venus en transport.
L'équilibre d'Eloïse était plus que précaire quand elle fit la bise aux copains, la porte refermée, je la pris dans les bras, elle m'indiqua la chambre et la déposais sur son lit, d'une petite voix j'entendis "reste".
Après avoir remis de l'ordre dans le salon, je revins dans la chambre, je trouvais Eloïse se débattant avec une manche de sa combinaison qui ne voulait pas libérer son bras, je lui expliquais qu'il fallait descendre le zip de la fermeture, elle me répondit "trop compliqué, peu pas, fais le".
Je descendis le zip, libéra un bras puis le second, découvris deux tétons, grands de plusieurs millimètres, posés là sur deux petits monticules, petite poitrine mais ravissante, je la soulevais d'une main pour glisser l'habit sous elle, elle avait une taille fine, des hanches minces, un petit toupet blond sur le mont de Vénus, une chatte ...