1. Lettres d'une femme mariée - 6


    Datte: 08/09/2020, Catégories: fh, ffh, jeunes, extracon, Collègues / Travail jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral init, confession, lettres, extraconj, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe

    ... plus de résister…
    
    — Viens laper ton petit dessert, ta petite cerise sur le gâteau…
    
    J’ai écarté ainsi mes fesses, pour t’offrir le spectacle de ma petite rosette qui n’avait qu’une envie, s’offrir en étant l’ultime et le principal objet des investigations de tes lèvres et de ta langue ! J’ai cru que j’allais mourir de plaisir quand tu as comblé mon anus de ta salive pour pouvoir plus facilement le forcer de ta langue. C’était la première fois que je te laissais m’enculer par ta bouche.
    
    J’eus la sensation, ô combien exquise et insolite, qu’un petit serpent lascif allait forcer mes entrailles dans le but unique de me faire jouir comme jamais ! J’ai accompagné alors ce mouvement entier de mon corps vers le plaisir en commençant à me branler, ce qui m’était facile dans la position indécente où je me trouvais. Je ne sais si tu te souviens des mouvements incontrôlés de mon postérieur pour venir m’empaler sur le délicieux objet charnel, à la fois de mon supplice et de ma jouissance… Quand j’ai véritablement joui à la limite de la perte de conscience, je n’ai pu retenir un mince filet d’urine, qui est venu se projeter sur le rebord de la table, avant de dessiner une flaque odorante à mes pieds. J’ai fait alors le geste de te relever en me retournant et j’ai pu apprécier la fraicheur revigorante du contact de la table contre mes fesses nues… J’ai pris alors ta tête entre mes mains, pour embrasser ta bouche adorée en cherchant à mon tour à te pénétrer de ma langue. Comme ...
    ... c’était à la fois exquis et étrange de sentir au contact de celle-ci la saveur poivrée de mon fion que tu venais de forcer par elle l’instant d’avant !
    
    Quand, au bout de plusieurs minutes, nous avons repris tous deux une certaine contenance, pour aller nous coucher bien sagement, comme le font la plupart des couples, j’ai vraiment réalisé ce qui venait de se passer. J’ai craint une fois encore d’être allée trop loin, non par peur de ton jugement, car je découvrais que finalement maintenant je m’en fichais un peu, mais par le fait d’avoir mis en danger ce fragile équilibre qui parvenait tellement à me combler ces jours-ci.
    
    J’avais peur qu’en me livrant ainsi, en t’offrant le spectacle régulier d’une femme désormais prête à tout pour accéder au plaisir, j’eusse peur que tu puisses, ne serait-ce qu’un instant, soupçonner qu’un espace de ma vie s’était soudainement révélé à moi… et qu’il était finalement trop grand pour toi ! Et puis ton attitude m’a rapidement rassurée. Je me souviens d’avoir entendu ces quelques mots avant de m’être glissée délicieusement dans le sommeil :
    
    — Je n’oublierai jamais ce moment-là… Tu m’as offert une des choses que je désirais le plus au monde sans jamais avoir osé te le demander… Je t’aime vraiment si fort ! N’hésite surtout pas à me faire la surprise d’autres sublimes cadeaux comme celui-ci !
    
    Ce que tu ne pouvais finalement deviner dans ta totale confiance et ta naïveté rassurante pour moi, c’est que ce cadeau, un jour sans doute, serait un ...
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