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Un récit qui dérange
Datte: 08/09/2020, Catégories: fh, extracon, cocus, inconnu, vengeance, Oral pénétratio, fsodo, exercice, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... chevaucher et se baiser sur la queue tendue. C’est un combat des corps. Même les odeurs se joignent à leurs gémissements pour arriver jusqu’à moi. Ces odeurs si fortes, exhalées par des peaux pourtant parfumées. Odeurs de sexe et de transpiration. Bruit des peaux qui claquent. Chuintements des liquides intimes que la queue brasse avec force. La bataille continue. C’est à celui qui prendra la commande, guidera l’autre à son rythme vers la jouissance qui pointe. D’une ruade et par des bras puissants, Lise se retrouve à genoux sur le canapé, en appui sur le dossier alors que John la baise maintenant en levrette. C’est une position qui va bien à mon état. La vengeance est totale. Ma "salope" de femme me fait payer bien lourdement un instant de faiblesse. C’est une "chienne" qui se fait prendre par son amant. Un amant que j’ai fourni. Je ne serais même pas surpris qu’elle lui cède son petit trou, ajoutant l’injure suprême. Non. Finalement, ils jouissent. Ma jambe me fait mal de tout ce temps de surveillance. Il ne manquerait plus que la cicatrisation se fasse mal et que je reste invalide. C’est mon état d’esprit alors que je retourne dans la chambre pour m’allonger. Quelques minutes plus tard, Lise entre dans la chambre. À mon visage, elle comprend que je ne suis pas bien. — Ça ne va pas ? demande-t-elle, inquiète. — Si, si ! dis-je, prenant sur moi pour ne pas montrer ma faiblesse. — Je crois que je suis allée trop loin. Je n’imaginais pas que tu pourrais ...
... souffrir. Je croyais que c’est ce que tu souhaitais. Voir. Comme dans ton récit. Excuse-moi, mon chéri. Et elle vient s’asseoir à côté de moi, pour pencher sa tête contre ma poitrine. — Je ne sais pas. Je ne sais plus. — Mais tu es aussi fautif. Avoir choisi ce gars. Reconnais que c’était difficile de résister. D’ailleurs je trouve que c’est très fair-play de ta part. — Donc, c’est d’accord. Chacun sa faute. Chacun pardonne et on n’en parle plus. — Mais oui. J’ajoute « On est quitte » comme pour me persuader que tout est terminé. Mais Lise bondit du lit. — Pas tout à fait. Ne bouge pas, je reviens. « Merde, qu’est ce qu’elle va avoir inventé ? Peut-être que John attend dans le salon pour une suite… » À peine une minute plus tard, elle revient. En entrant elle coupe la lampe du plafond. Ne reste plus que la faible chambre de chevet. C’est juste à quelques pas que je découvre vraiment ce qu’elle a fait. Des lunettes qui lui mangent le visage. Une chevelure de blonde qui descend sur ses épaules et plus bas. — Tu avais raison. On croirait ma sœur. Tu ne trouves pas ? — Mais, Lise… À quoi bon m’expliquer ? À quoi bon expliquer à ma femme que pour mon texte j’ai utilisé ce qui m’entourait et que sa sœur ne me fait pas bander ? C’était juste un prétexte pour créer une histoire qui sorte un peu de l’ordinaire. — C’est vrai. Elle s’approche plus près. Sa main se tend vers le short qui me sert de pantalon pendant toutes ces journées où je tourne en ...