1. COLLECTION ZONE ROUGE. Aide Humanitaire (1/2)


    Datte: 08/09/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... de réveiller mes sœurs bien fatiguées après leur journée de travail, après un hiver très rude, le beau temps étant là, je sors de ma cellule pour aller me soulager sans faire le moindre bruit.
    
    Devant moi et semblant faire attention que l’on ne l’entende pas notre Mère ayant enlevé sa robe noire, comme moi, se dirige vers la chapelle.
    
    Dans la journée, je consulte sœur Alice, elle est un peu herboriste, car j’ai un petit ennui gastrique, j’ai fait pécher de gourmandise en mangeant des cerises au moment de la cueillette.
    
    La curiosité l’emporte sur mes intestins, je la suis, aurait-elle une relation avec l’une de nos sœurs, malgré nos vœux, certaines en ont, moi quand j’ai des poussées de fièvre, je vais vous confier un secret à ne pas répéter, dans ma cellule, j’ai un gros morceau de cierge qui m’aide à me calmer.
    
    Je m’arrêterais bien ou peux aller notre mère supérieure à cette heure au bout du couvent, l’endroit où elle arrive m’est inconnu, personne ne vient là.
    
    D’un coup, elle semble happée par le mur, serais-ce un passe-muraille, je m’approche, des fagots sont déplacés, laissant apparaître un trou suffisant pour qu’une personne adulte se faufile.
    
    Je regarde en passant la tête, c’est une route qui doit passer le long du couvent qu’elle emprunte, j’ai déjà vu en faisant une promenade que des veilles demeures, qui dans le temps étais habité par des paysans sont maintenant inoccupées à quelques mètres.
    
    Mère Marie-Madeleine, doit être entrée dans l’une ...
    ... d’elles, car je vois une lampe plus importante que la torche allumée, je m’approche de plus en plus intriguée.
    
    Je jette un œil, une jolie brune est face à une coiffeuse, ses cheveux lui tombent sur les épaules, elle est nue, mon trouble est de courte durée, ayant maquillé ses yeux, elle se lève, sa toison est d’un noir profond.
    
    J’ai rarement rencontré de pute, mais j’ai l’impression d’en avoir une face à moi.
    
    Elle semble prête, je la vois éteindre la lampe-tempête qui lui a servi pour avoir assez de lumière et reprendre sa lampe torche.
    
    Je me recule, j’entends sur le côté coulisser une porte, je regarde, c’est la porte d’une grange qu’elle a ouverte, deux secondes, je vois une petite voiture sortir, elle descend et referme la porte, la voiture démarre et part vers Genève en descendant la colline.
    
    La porte est juste tirée, j’entre, coup de chance, un trou dans la toiture me permet de me diriger vers la pièce, la lampe est encore chaude, des allumettes me permettent de la rallumer.
    
    Je me recule, j’entends sur le côté coulisser une porte, je regarde, c’est la porte d’une grange qu’elle a ouverte, deux secondes, je vois une petite voiture sortir, elle descend et referme la porte, la voiture démarre et part vers Genève en descendant la colline.
    
    Je me déshabille, la mère supérieure a mes mensurations, j’enfile des basses résilles tenues par un porte-jarretelles, une mini, ras ma chatte et un boléro de même couleur que la jupette, elle a mis des cuissardes, c’est ...