1. RENDEZ VOUS CHAUD


    Datte: 08/09/2020, Catégories: Anal Première fois Auteur: chitmania, Source: xHamster

    ... restais silencieuse. Il m’attira et me pressa contre lui afin que je sente son sexe contre mon ventre. On peut aller chez toi ou je peux repartir comme je suis venu. Il me lâcha, m’embrassa sur le front et me dit : Tu es libre. Je l’invita maladroitement chez moi. Il caressa mon cou et répondit : Allons-y alors. On échangea un certain nombre de banalités puis on entra dans la petite arrière cour pavée où se trouvait mon studio. La porte de l’appartement se referma derrière nous en claquant. On était enfin chez moi. Aucune minute ne s’écoula avant qu’il me bouffe les seins. Il les sortit avec savoir-faire de ma robe en tissu bleu. J’étais troublée de ce moment long et doux que jamais personne ne m’avait jamais accordé. J’étais troublée encore davantage par mon ingratitude. J’avais envie qu’il continue tout en sentant ses doigts visiter mes cavités. J’avais peut-être trop abusé de gin tonic. J’avais l’impression qu’un homme se suffirait pas à me combler.
    
    Ensuite, je me trouvais allongée sur le carrelage, ma robe n’était plus qu’une pièce de tissu descendue au-dessous des seins et remontée au-dessus du pubis rendue lisse par l’esthéticienne et glissante par le désir et la bave. Il me dit de ne pas bouger et prend un foulard. Il m’ordonna de me mettre sur le ...
    ... ventre. Il colla sa main entre mes lèvres pour faciliter mon destin. Il m’attacha les pieds puis vint sur moi. Il était assis sur mes cuisses près de la naissance de mes fesses. Il les écarta savamment. Je l’entendis cracher, je sentis ses doigts étaler la bave. Il m’encula avec une facilité déconcertante en disant : Branle-toi, ma belle. Je n’osais pas. Je ne m’étais encore jamais caressée devant un homme. C’était comme s’il me fallait du temps pour accepter de laisser partir certaines virginités. Il me faisait lécher ses doigts et me caressait. Je sentais mon clitoris se contracter de plaisir pendant une demi-seconde, cela se répéta un nombre de fois que je ne compte pas. J’avais jamais eu l’impression d’avoir été autant mon corps. Les frottements de son torse dans mon dos achevaient de me faire perdre le sens de la réalité. Il y avait ses doigts, son sexe et moi. Moi diluée dans mes sensations, moi qui décidait de me cambrer légèrement pour signifier que j’en voulait encore. Je sentais son souffle s’abattre sur ma nuque comme une bête. J’aimais démesurément la sensation contradictoire d’être abandonnée au plaisir de cet homme dont la vigueur aurait pu facilement me rendre vulnérable mais qui se contentait de me sodomiser avec douceur en étant l’esclave du plaisir 
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