Marie, Henry, Patricia et moi
Datte: 06/09/2020,
Catégories:
Hardcore,
Partouze / Groupe
Anal
Auteur: ahtile, Source: xHamster
Après cette soirée totalement inédite pour tous les trois, Marie me propose une soirée « diner et plus » à quatre. La vie sexuelle de Marie se débride à chacune de nos rencontres et ses penchants pour la gente féminine, longtemps refoulés, semblent maintenant totalement dissipés. Marie savait très bien, pour le lui avoir dit, que Patricia avait essayé de s’inviter à la précédente soirée, et s’était vu écartée par une décision unilatérale qu’elle avait plus subi, qu’accepté.
Patricia était une jeune fille mère. Elle avait 30 ans et avait eu son fils à 18, suite à un accident de parcours. Nous nous sommes rencontrés lors d’une soirée déguisée et notre attirance l’un pour l’autre a fait le reste avant même la fin de la soirée. C’était la colombine de la soirée, une petite blonde avec un carré au dessus des épaules. Ses yeux bleus « Marie-brizard » et son sourire enjôleur, ont eu raison de mes sentiments. Ce n’est qu’après quelques jours de relations à découvrir son corps tout aussi enivrant, que je lui ai avoué mes penchants libertins, qui étonnamment de l’ont pas apeuré. Peut-être une attirance cachée ou inavouée pour ce type d’expérience. Patricia a accepté mes pratiques que je ne devais pas lui cacher, et c’est même dit prête à partager quelques unes de mes aventures. C’est comme cela, que nous nous sommes retrouvé chez Marie et Henry pour un diner.
Nos hôtes avaient placé leurs enfants pour la soirée, et Patricia, elle, avait laissé son fils à ses parents, chez qui ...
... elle vivait encore toute la semaine. Nous sommes arrivés vers 20h, moi, en jeans, chemise blanche HB et Church aux pieds, ma belle, en robe bleu outremer épousant au plus près son petit corps parfait et chaussures ouvertes à talons laissant ses ongles rouges trancher avec le bleu de ses escarpins. Sa tenue laissait deviner l’absence de soutient gorge,il aurait été trop visible sous le fin tissu qu’elle portait, et la présence d’un string minimaliste. Une petite pression sur la sonnette, le portillon s’ouvre aussitôt, nous faisons les quelques pas qui nous séparent encore de la maison et la porte d’entrée s’ouvre. Henry et Marie nous accueillent ensemble. Lui toujours aussi mal apprêté, avec un pantalon souple, plus proche du survêtement que du costume, et d’un polo rayé. Une tenue que, même pour une soirée déguisée « mauvais gout », j’aurai eu du mal à imaginer. Elle, comme à son habitude, resplendissante, jupe noir au dessus des genoux, chemisier fleuri noir et blanc entrouvert laissant apparaître le haut de la dentelle de son soutient gorge, et de escarpin noir. Un maquillage simple et léger accentuant la profondeur de son regard et la taille de ses grands yeux. Seul le rouge à lèvres contrastait avec l’image de Marie, qui aurait pu sortir d’une revue de photos en noir et blanc.
Nous entrons, distribuons un petit bouquet de roses rouges à Marie et une bonne bouteille de Cristal de Roederer à Henry. Je fais les présentations, puis nous dirigeons tous vers le salon. Marie ...