1. 0217 Une soirée et une nuit que je n’oublierai pas.


    Datte: 06/09/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... j’ose même lui demander.
    
    « Oui, à fond ».
    
    Je prends de l’assurance. Une nouvelle fois, je saisis ses biceps, symbole si puissant de sa virilité à mes yeux, je laisse libre cours à mes coups de reins, je prends de plus en plus de plaisir au fur et à mesure que je lui fais l’amour.
    
    Au fil des va-et-vient, au fil des frissons de plaisir, je découvre toutes les sensations que ressent l’actif lorsqu’il fait l’amour. Je me sens le mâle qui attise le plaisir avec sa queue. Son propre plaisir, et celui de l’autre.
    
    Voilà ce que doit ressentir Jérém lorsqu’il est en moi, lorsqu’il me fait l’amour. C’est tellement bon de voir, de sentir l’autre frissonner sous ses assauts ! Et voir le corps musclé de mon beau rugbyman vibrer au rythme de mes va-et-vient, c’est délirant.
    
    Je suis content de lui donner ce plaisir, autant de plaisir. Faire l’amour, ça donne vite de l’assurance. Et aussi l’envie d’aller jusqu’au bout.
    
    Je ressens de plus en plus violemment monter dans mes reins ce besoin irrépressible, pressant, viscéral, l’instinct animal et primitif du mâle qui pénètre et ne pense plus qu'à jouir dans son partenaire. Même un mec passif, lorsqu’il « devient » actif, peut ressentir cette pulsion profonde qui le dépasse.
    
    Mais je ne veux pas que ça s’arrête si tôt, je veux que ça dure plus que ça. Et aussi, je ne sais pas si mon bobrun est prêt à aller vraiment jusqu’au bout. Se laisser pénétrer, se laisser limer, ce sont déjà des grands pas. Et mon bobrun vient de les ...
    ... franchir. Mais laisser l’autre gicler en soi, ça en est un autre, et bien plus grand encore.
    
    Alors, c’est un prix d’un effort de plus en plus considérable que :
    
    Je vais et je viens/Entre ses reins/Mais je me retiens
    
    https://www.youtube.com/watch?v=GWfCpv1l5ds
    
    Jérém prend bien son pied, et il l’exprime de plus en plus fort, sans réticence.
    
    « Vas-y, Nico, c’est bon ! Vas-y, vas-y à fond ! ».
    
    « Tu la sens bien, là ? ».
    
    « Oh oui, je la sens bien ! ».
    
    « Et tu kiffes ? ».
    
    « Je kiffe trop ! ».
    
    Sentir Jérém prendre autant son pied, le sentir l’exprimer de cette façon de plus en plus désinhibée, par les frissonnements de son corps, par des gémissements de plus en plus bruyants, par ses mots d’où la pudeur s’évapore à grande vitesse, m’excite au plus haut point. Ainsi, je sens mon plaisir monter, je sens que je ne vais pas tarder à jouir.
    
    Je vais et je viens/Entre ses reins/Je vais et je viens/Et je me retiens (pour combien de temps encore, je ne sais pas…).
    
    Si, je me retiens. Et pour ce faire, je suis obligé de stopper net mes va-et-vient. Juste à temps. Je m’arrête bien au fond de mon bobrun, me faisant violence pour éloigner l’orgasme qui, pour peu, allait m’échapper.
    
    « Pourquoi t’arrêtes ? » je l’entends me demander sur un ton dans lequel se mêlent impatience et excitation.
    
    « Si je continue, je vais jouir… ».
    
    Un instant de silence suit mes mots. Ma queue enfoncée dans son intimité, mon excitation me torture. Mon cœur cogne à tout rompre, ses ...
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