1. Séminaire et autre divertissement


    Datte: 05/09/2020, Catégories: fhh, extracon, cocus, Collègues / Travail bus, facial, Oral Auteur: Gygès, Source: Revebebe

    ... retourner.
    
    » J’ai essayé de passer la main dans le dos à travers le tissu de la chemise mais l’espace était trop restreint. Il m’a dit qu’il allait m’aider. Il a passé sa main à l’intérieur de la chemise puis derrière mon dos et il a dégrafé le soutien-gorge avec deux doigts. J’étais un peu perdue, je lui ai dit merci machinalement. J’ai fait glisser les bretelles l’une après l’autre dans les manches de la chemise pour le retirer. Jaime regardait dans la direction de ma poitrine. Il avait les yeux à cinquante centimètres et il voyait sûrement des choses.
    
    » C’est vrai que, débarrassée de ce soutien-gorge trempé, je me sentis bien mieux. Je l’ai remercié avec l’air le plus naturel possible. Il s’est levé pour me laisser sortir de la rangée de sièges. Je sentais encore ma culotte mouillée me coller les fesses. J’avais envie de l’ôter mais j’avais peur de donner des idées aux deux hommes qui étaient seuls avec moi dans ce car au milieu du déluge.
    
    » Je suis allée m’asseoir à la place du conducteur. J’ai discrètement levé mes fesses et j’ai retiré ma culotte. Au moment de passer la culotte au niveau de mes genoux, le chauffeur est arrivé à côté de moi. J’ai sursauté et j’ai poussé un petit cri. Il était vraiment effrayant, petit, râblé et avec un rictus un peu vicieux sur le visage.
    
    » En me voyant, il a commencé à parler fort en portugais, il faisait des commentaires à Jaime qui était resté au fond du bus où il étendait mes vêtements mouillés. Ils ont commencé à ...
    ... s’interpeller assez fort. Je pense que Jaime lui disait de me laisser tranquille et que l’autre n’était pas d’accord. J’étais paralysée avec ma culotte sur les cuisses.
    
    » Je n’avais pas profité de leur altercation pour la remonter. Il s’est penché vers moi et à pris ma culotte avec sa main. Il continuait de parler et tirait vers mes pieds. Il voulait sûrement que je l’enlève. J’ai entendu Jaime traverser le bus en courant. Il a attrapé la main de Miguel pour le faire lâcher. Ils étaient tous les deux penchés au-dessus de moi, leurs deux mains entre mes cuisses en train de s’arracher ma culotte. J’étais terrorisée et pourtant en même temps fascinée par ce qui se passait. La pluie battait violemment sur les vitres. On ne voyait rien à l’extérieur. Au bout de quelques secondes qui m’ont parues très longues, Miguel a réussi à se défaire de l’emprise de Jaime et l’a poussé au sol. Jaime n’arrêtait pas de l’engueuler. Miguel a descendu ma culotte. Dans la position où j’étais la chemise était remontée sur mon ventre, les jambes à moitié écartées, Miguel avait une vue directe sur ma chatte. J’ai vite resserré les jambes.
    
    — Il faut aller porter plainte. C’est du viol !
    — Attends, pas tout à fait. Miguel s’était arrêté et Jaime en a profité pour se relever. J’avais retrouvé mes esprits. Je me suis redressée en face d’eux. Je les regardai droit dans les yeux comme pour les braver. Et tout à coup, l’ambiance a changé. Je n’avais plus peur, Miguel n’était plus agressif et Jaime n’était ...
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