1. Cours de nuit


    Datte: 17/04/2018, Catégories: fhh, profélève, gymnastiqu, strip, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... de me prêter à ce subterfuge. Si je dois virer salope et infidèle, au moins dois-je assurer. Le plus drôle, c’est que c’est eux qui me déshabillent ! Pas mal pour une strip-teaseuse amateur !
    
    Après, tout dégénère. Je les suce. Ils me lèchent. Coincée entre ces deux corps d’hommes, je ne suis bientôt plus qu’un jouet entre leurs mains. L’un me baise pendant que je suce l’autre. L’un comme l’autre sont exigeants. Si je ne gobe pas assez de leur chibre, ils me l’enfournent de force. Je n’ose regarder dans le miroir qui tapisse le mur de cette pièce qui est cataloguée " salle de danse" pour y découvrir une femme la bouche ouverte, déformée par le mandrin qui s’y cache, la salive coulant de ses lèvres, les cheveux collés par la sueur, telle une hardeuse de vidéos pornos.
    
    Je ne suis pas la seule à être fascinée par le miroir. Damien m’entraîne pour nous en rapprocher. Il s’allonge et m’invite d’un geste à venir le chevaucher. C’est moi qui ai le plaisir de m’embrocher sur sa tige magique. Dans cette position, j’ai la référence avec mon mari, et je peux constater qu’il est bien plus long et fort. Son gland découvre des régions inexplorées, et c’est un peu comme une seconde perte de virginité.
    
    Maintenant, je suis totalement dans l’ambiance et je n’ai plus peur de me regarder. J’y vois une femelle en rut qui s’enfile une belle bite dans la grotte. J’y vois un mâle qui tient mes seins par les tétons et tire vers le bas, m’encourageant à descendre un peu plus. Et je regarde. ...
    ... Je suis spectatrice et actrice. Les derniers centimètres qui disparaissent au regard de la spectatrice, c’est l’actrice qui les sent en elle.
    
    « Bordel, que c’est bon ! » Je me tiens bien droite. J’ai peur que si je me penche je casse la queue qui est en moi et qui est si dure qu’elle en paraît fragile. Je me baise sur elle. À chaque fois que je me retrouve au contact des cuisses de mon amant, ses couilles se frottent délicieusement.
    
    Des mains se posent sur mes épaules. Ce sont celles du "collègue" qui est derrière moi. Il me fait pencher. La poitrine de Damien reçoit la mienne. J’ai la tête tournée vers le miroir. Je vois parfaitement l’homme s’accroupir et pointer son dard vers mes fesses. Je sais, je crains, je redoute, j’espère ce qu’il veut faire. Il crache dans mon sillon. Le doute n’est plus permis lorsque ses mains écartent avec rudesse mes fesses et qu’aussitôt il y pointe son gland. Mon anus proteste, mais l’homme n’en a cure. Heureusement, ce chemin n’est pas vierge. Mon mari en profite souvent, appréciant l’étroitesse du passage et la perversité attenante.
    
    D’une poussée, il entre. Les bras de Damien me maintiennent contre lui. Je suis prisonnière. Oui, mais je sais qu’il me suffit de dire « non » pour que mon geôlier me libère. Mais en réalité, je suis prisonnière de mon envie. Je suis la prisonnière de ce fantasme inavoué et refoulé au fond de moi. C’est la pire des prisons. Le plus doux des supplices. Sentir la queue avancer et ramper dans mon cul déjà ...
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