Je suis une femelle salope 57 - Une bonne correction
Datte: 04/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Perruche77, Source: Hds
JE SUIS UNE FEMELLE SALOPE 57 - UNE BONNE CORRECTION
Pendant ma période de soumission, je voyais régulièrement ma Maîtresse, une belle blonde, pour qu’elle me domine et au final qu’elle me fiste. C’était une experte en la matière et à chaque fois, je prenais un pied colossal. Elle savait aussi manier le martinet et j’en faisais à chaque fois l’expérience mais c’était plus un épisode pendant nos séances que le plat de résistance.
C’était un rituel bien rôdé, j’arrivais chez elle, on se faisait la bise, puis, une fois nu, elle redevenait la Maîtresse sévère. Elle me corrigeait au martinet ou à la fessée, quelquefois elle m’urinait dessus, le plus souvent elle me faisait prendre par un autre de ses soumis et le final consistait toujours en un fist, mon régal et le but réel de mes visites.
Un jour cependant, j’ai décidé de varier les plaisirs. Depuis quelques jours, je fantasmais sur des récits que je lisais et relisais, il était question de soumis livré à une domina, attaché, fouetté jusqu’au sang, et ces récits tournaient en boucle dans ma tête. Je m’imaginais à la place de ce soumis, je ressentais presque la douleur des coups, et j’avoue que cela me faisait bander. Ma femme était en déplacement pour une quinzaine. Un matin, n’y tenant plus, j’étais alors à mon travail, je me rends dans une pièce tranquille, je décroche le téléphone et j’appelle ma domina attitrée. Les salutations faites, je lui demande si je peux la voir le jour même et je lui explique mon désir ...
... d’être corrigé. Je fixe la dose à une cinquantaine de coups de martinet, je lui demande d’être très dure avec moi et je raccroche, tout émoustillé par avance. Inutile de dire que la journée de travail passe rapidement.
Avant de la rencontrer, je fais une provision d’orties et j’arrive chez elle en banlieue. Je me déshabille et elle rentre tout de suite dans le vif du sujet. Elle a un air féroce que je ne lui connaissait pas, elle a revêtu une combinaison de cuir, le martinet à la ceinture, je sens que je vais déguster.
Elle fixe des colliers à chien à mes poignets et relie ceux-ci à un crochet au plafond à l’aide de chainettes. Je me retrouve nu, les bras en l’air, pouvant juste tourner sur moi-même.
Je lui rappelle mon souhait de ne pas être frappé sur le ventre car je marque facilement. Elle acquiesce. Elle ouvre le sac et en retire les orties. Sans me laisser le temps de respirer, elle commence à me cingler le corps avec, ça brûle partout, ma peau devient rouge, je la supplie d’arrêter mais bien sûr elle ignore mes suppliques.
Puis elle prend son martinet.
« Tu compte à haute voix et tu ne te trompe pas sinon je recommence au début ! Et que je t’entende bien ! »
Et la fête commence. Elle me frappe d’abord doucement, un peu partout, sur les fesses, sur les cuisses, je compte les coups docilement. Puis elle appuie ses coups, je commence à bien avoir mal, je gigote au bout de mes liens mais elle continue immuable.
J’ai très mal à présent et la série n’est pas ...