Au fil de la perversion
Datte: 04/09/2020,
Catégories:
hplusag,
gros(ses),
groscul,
campagne,
froid,
fsoumise,
coprolalie,
Auteur: Achille, Source: Revebebe
... s’empressait de monter dans ma voiture et notre rituel était de commencer par un long baiser pendant que mes mains passaient sous sa robe pour vérifier qu’elle était nue. Très souvent, elle m’avait désobéi en mettant un leggins qui moulait ses cuisses puissantes et son énorme cul. Elle savait qu’elle serait punie et y avait vraiment pris goût. La première des punitions, en-dehors de la désormais traditionnelle fessée, fut de jouir dans sa bouche, chose dont elle avait horreur… Elle y prit goût également. Alors qu’au début de notre relation je la faisais jouir beaucoup avec ma langue et un peu avec mes doigts, elle devint rapidement une vraie femme fontaine. Elle ne giclait pas en longs jets, mais coulait à flots quand mes doigts tournaient sur son point G que personne n’avait cherché avant. Sentir ses muqueuses vaginales enfler au point de devoir forcer pour que mes doigts ne se fassent pas éjecter était très excitant pour moi et très jouissif pour elle.
Ses seins étaient également extrêmement sensibles, et elle adorait que je pince le plus fort possible ses tétons en les étirant. Désormais, le rituel était devenu immuable. Arrivés dans notre coin au fond d’un bois, nous passions à l’arrière de mon 4x4, nous mettions nus et je commençais par la lécher et la sucer pour un premier orgasme dans la douceur. Ensuite, elle me demandait de la doigter : deux doigts dans la chatte et un entre ses fesses tandis ...
... que mon pouce tournait sur son bouton d’amour. Je l’encourageais dans ses nombreux orgasmes en lui parlant crûment :
— Mouille, salope ; jute dans ma bouche que je boive ta cramouille…
Quand elle avait joui plusieurs fois de suite, c’était à elle de me demander ce qu’elle voulait que je lui fasse… À chaque fois, elle me demandait sans plus aucune gêne :
— Encule-moi, mon cochon… Défonce-moi le cul !
Alors nous sortions souvent de la voiture et je la faisais se plier en avant, jambes écartées et mains appuyées contre un arbre.
Un jour, j’ai commencé par la fesser vigoureusement en exigeant qu’elle se caresse la chatte pendant ce temps. Puis je l’ai doigtée par les deux trous jusqu’à ce qu’elle ne tienne plus et m’implore de l’enculer. Mais j’ai voulu pousser plus loin la perversion et j’ai exigé qu’elle urine sur mes doigts pendant que je la faisais jouir.
Alors seulement je répartis du gel sur et dans sa rosace et la pris sauvagement entre ses fesses que je claquais en même temps que je la défonçais, me vidant très vite au plus profond de ses entrailles… Dès que ma queue s’est mise à mollir, je ressortis de son cul rougi par mes claques et urinai de suite sur sa rosace.
Notre histoire a vécu encore quelques semaines, jusqu’à ce qu’elle tombe complètement amoureuse bien que sachant que jamais je ne quitterais ma femme. Ce fut la fin de notre relation et je n’ai plus entendu parler d’elle.