1. les Amazones - Épisode 4


    Datte: 04/09/2020, Catégories: fhhh, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fsodo, historique, aventure, historiqu, Auteur: André 59, Source: Revebebe

    ... je t’ai choisi ? Avant le combat, je guettais votre troupe à la lisière de la forêt et j’ai remarqué ta croix sur ton armure. En la voyant, tous mes souvenirs d’enfance sont remontés d’un coup. Les cantiques que chantait mon père, la prière du soir avec ma mère, la croix qu’elle dessinait sur mon front avant que je m’endorme… Ça m’a bouleversée et puis j’ai remarqué ton attitude lors de la bataille. Tu étais là, sans peur, indifférent à la mort. Comme un dieu au-dessus de la mêlée. Et sur ton cheval, tu semblais invulnérable. Rien ni personne ne te touchait. Alors, j’ai compris que c’était toi qu’il me fallait. Et personne d’autre !
    
    Nom de… ! Pardon, Seigneur, de citer ton nom en vain, mais de quoi parle-t-elle ? Et elle me tutoie ? Pauvre fille, elle a pris ma sidération pour du courage et le hasard qui m’a protégé pour de l’invincibilité. Elle risque de déchanter.
    
    — Les moments passés avec toi ont montré que tu es un amant fort convenable, même si ta technique manque de finesse. Je compte bien t’instruire. Ta semence nous donnera les filles dont notre tribu a besoin.
    
    Pas possible. Ce n’est pas possible ! Je suis tombé sur un Succube ! Bon, ne nous énervons pas et analysons froidement la situation. Je suis prisonnier, totalement réduit à l’impuissance et si par extraordinaire, j’arrivais à me délivrer de mes liens, je crèverais de faim et de soif dans la jungle, à moins qu’un jaguar ou un serpent ne finisse par avoir ma peau. Conclusion ? Conclusion : pas de bêtise, ...
    ... je vais la laisser me conduire jusqu’à sa tribu. À moi de me débrouiller pour laisser des indices derrière nous. Je suis sûr qu’Isabella et Elena feront une vie impossible à Ochoa pour qu’il parte à notre recherche avec ses hommes. Ils pourront nous suivre et venir à mon aide. Et si d’aventure, personne ne m’apporte du secours, alors je saisirais cette occasion unique offerte par notre Seigneur pour convertir ces païennes à la vraie foi. Les voies de Dieu sont impénétrables, peut-être est-ce là le moyen de racheter mes fautes.
    
    Ma gardienne semble fort aise du rapt qu’elle vient de commettre. Les heures ont passé. Je suis de plus en plus ankylosé et j’ai une envie pressante de me soulager. Elle a dû s’en rendre compte à voir la façon dont je me tortille. Elle accoste la berge en douceur et attache la pirogue à un tronc, visiblement, nous allons faire une pause pour nous reposer ; je la vois alors défaire mes liens aux pieds. Elle me soulève par le bras.
    
    — Fais quelques pas, si c’est nécessaire va derrière un arbre, mais ne cherche pas à fuir.
    
    Impossible de lui répondre avec mon bâillon, les mains attachées, je ne peux que hausser les épaules. Où aller dans un équipage aussi ridicule ?
    
    À peine suis-je revenu qu’elle lie aussitôt mes pieds et fléchit ses jambes. Tout en levant mon bras droit, elle passe le sien sous mes jambes et la charmante Maureen me charge sur son dos avec une vigueur et une rapidité déconcertante. Il lui suffirait d’opérer un mouvement d’épaule ...
«12...456...15»