les Amazones - Épisode 4
Datte: 04/09/2020,
Catégories:
fhhh,
hsoumis,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
fsodo,
historique,
aventure,
historiqu,
Auteur: André 59, Source: Revebebe
... allongée sur moi. Dommage que je ne puisse la prendre aux hanches ou lui planter un ou deux doigts dans le fondement, je ne peux que donner des coups de queue en rythme afin de l’accompagner à bonne cadence.
Alors que je suis proche de la jouissance, Maureen saisit mon vit et le fait sortir de son ventre. Il est luisant de mouille et de sang. Je sais ce qu’elle veut faire. Cette fille m’a donné sa bouche et son ventre, il reste donc un orifice à déflorer. Sans montrer de peur ou d’hésitation, Anahi se cambre tandis que Maureen place mon sexe à l’entrée de ses fesses. Elle se plante dessus d’elle-même et commence une sarabande endiablée avec son cul. C’est trop pour moi, et tandis qu’elle monte et descend le long de mon membre, j’explose en saccades violentes, rapides, j’inonde ses entrailles en braillant mon plaisir. Et je bascule dans le noir. Une lumière éclatante a tôt fait de me faire revenir à moi. Je suis allongé sur une natte. Mais désormais je n’ai plus d’entraves. Maureen et les Amazones sont toujours là. Celle que j’ai déflorée me tend une coupelle en bois. Maureen vient à mes côtés.
— Ton initiation n’est pas achevée. Bois !
Je vois un liquide brun, une espèce de décoction d’herbes et d’écorces. Soyons franc, ça pue. Veulent-elles m’empoisonner ?
— Cela a l’air infect. Qu’est-ce que c’est ?
— C’est à base d’Ayahuasca. « La liane des âmes ». Tu vas être en contact avec le monde des esprits. S’ils te choisissent, toutes celles ici présentes seront ...
... honorées de t’ouvrir leurs cuisses à leur tour. Bois, s’il te plaît.
Le son de sa voix s’est fait soudain plus doux, presque implorant. Alors à Dieu vat ! Je prends et j’avale d’un trait. Quelques secondes s’écoulent et je m’écroule soudain, secoué de spasmes, je sens une écume blanchâtre mousser au coin de mes lèvres, dégouliner sur mon menton et arroser le sol. Mon sexe durcit à nouveau et j’éjacule aussitôt, je vomis, je me vide comme si une main énorme et invisible me pressait pour faire évacuer tous mes fluides vitaux. Les fourmis étaient un plaisir à côté de cette horreur. J’ai tellement mal que je me déchire la poitrine avec les ongles, j’ai l’impression de brûler de l’intérieur, mes entrailles se consument. Je vois ma peau se crevasser. Mes yeux saignent. Mon corps va s’ouvrir en deux. Et puis je disparais dans une explosion de lumière. Je parcours un tunnel nimbé de lumière blanche à une vitesse folle. C’est déjà fini ! Fini.
J’ouvre les yeux, je me relève en titubant et sors de la case. Je suis seul. Plus aucune trace de mes hôtes. Le village est désert, une brume épaisse couvre le rivage et il y a un silence inhabituel. Un feulement retentit derrière moi. Je le reconnais, c’est celui du jaguar, l’animal le plus féroce, le plus impitoyable de Nouvelle-Espagne. Je me retourne lentement. Ce n’est que crocs et griffes, mais au lieu de fuir, j’affronte. Le fauve se jette sur moi alors que je hurle de rage et de colère. Je sais que je vais mourir. Pour rien. J’ai une ...