ABUSEE PAR LE GARDIEN D’IMMEUBLE
Datte: 04/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Patou bcbg mature pulpeuse, Source: Hds
... êtes complètement fou, sortez avant que j’appelle la Police
- Pas avant d’avoir été rétribué, tout travail mérite salaire.
Prestement il s’était rué vers moi, me saisissant par la taille par ses mains sales, et essayant de m’embrasser. Je me débattais, le frappant de mes mains. Malgré sa petite taille il était d’une force colossal. Il me retourna comme une crêpe et me pencha contre le lavabo. Avec mes jambes j’essayais de lui donner des coups de pieds mais emprisonnées dans ma jupe fourreau cela n’avait aucune portée. Je protestais vainement le menaçant de crier si il ne me lâchait pas.
- Lâchez moi ou je vais hurler
- T’inquiète pas salope c’est bien insonorisé ici personne va t’entendre
Il sorti de sa poche un chiffon qu’il plaça dans ma bouche afin de me bâillonner. Ramenant ensuite mes mains dans le dos il me menotta. Il avait tout prévu et préméditait son acte. J’étais donc à sa merci ! Une fois attachée et bâillonnée il me retourna. Je lui faisais face. Je vis à ses pieds un sac, d’où il sorti un bâillon en latex avec une boule au niveau de la bouche. Il remplaça le chiffon par son appareil qu’il me fixa fermement autour du visage. Me plaçant a genoux devant lui, il m’ajusta autour du cou un collier ajustable maintenu par un velcro rouge avec au bout de l’anneau une laisse en corde noire. J’étais donc menottée, bâillonnée, et tenue en laisse par un répugnant petit bonhomme au regard lubrique qui pouvait faire de moi ce que bon lui semble. Reprenant son ...
... sac d’une main et la laisse de l’autre il me fit me relever en me promena jusque dans le salon. Tirant fort sur la laisse, je n’avais d’autres choix que le suivre.
- Une belle jument comme toi ça doit d’abord se faire dresser.
De son sac il sorti une cravache et un martinet. Laissant le martinet de coté, il prit la cravache dans la main. Tenant la laisse comme une longe, il me faisait tourner autour de lui, me menaçant de sa cravache. Des petits coups s’aplatissaient sur mes cuisses quand mon rythme faiblissait. J’étais rouge de honte, il me traitait comme une pouliche lors d’un dressage, mais de quel droit ! Sentant un relâchement, j’essayais de courir vers la porte, mais il me retira immédiatement par la laisse me ramenant vers lui.
- Alors belle pouliche on se rebelle, attends on va passer à l’étape suivante du dressage.
Il releva ma longue jupe. Nos étions debout l’un contre l’autre, face à face, il remontait ma jupe dévoilant mes bas et mes porte-jartelles noirs achetés le jour même. Cette nouvelle collection « Autrefois Autonome » de Ravage était délicieuse. Révélant mes fesses, il les palpa fermement à travers la dentelle de mon Tanga. Je sentais son haleine fétide près de moi s’était répugnant. Il retira sur la laisse de plus belle. Fesse à l’air je tournais autour de lui, qui fermement m’appliquait des coups secs avec sa cravache sur mes fesses dénudées juste protégées par la soie fine de ma culotte. Au bout de plusieurs tours il me dirigea vers l’accoudoir ...