1. Des histoires de factures


    Datte: 04/09/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Trixie, Source: Hds

    ... vieux noir qui venait du Congo ! Au putain... mon doigt est tout mouillé...
    
    - Alors tu me crois maintenant... allez bye... je te raconterai... »
    
    Je le plantais là, les yeux ébahis. Je me dirigeais vers le bureau du Grand Jean-Paul, le mistral s'engouffrait sous ma blouse, chatouillant mon sexe bien épilé et légèrement moite, le doigt de Gérald y était pour quelque chose. Mes seins libres de toute entrave tressautaient et mes tétons frottaient contre le tissu de la blouse, je sentais qu'ils s'érigeaient.
    
    Il me sembla voir Boulier qui entrait dans le bâtiment ou était son bureau, au moins je n'aurai pas fait ça pour rien... il était là. Mais il était assez fantasque, on ne savait jamais trop à quoi s'attendre avec lui.
    
    Enfin, je verrai bien !
    
    Je toquais à sa porte, il me dit d'entrer. Je m'approchais, passais à côté de lui, lui tendis la liasse de
    
    documents à signer.
    
    Je me penchais pour la poser sur son bureau, le haut de ma blouse bailla largement, son regard y plongea, il ne pouvait pas rater que je n'avais pas de soutien-gorge. J'avançais une jambe, le bas de la blouse s'ouvrit découvrant le haut de ma cuisse striée par les lanières du porte-jarretelles. Ses yeux s'y portèrent aussitôt. Il me montra le fauteuil devant son bureau.
    
    « Assied-toi pendant que je signe, et puis il faut que je te parle. »
    
    Je posais mes fesses au fond du siège et croisais mes jambes, le regardant signer les papiers, il me jetait des coups d??il par-dessus ses lunettes, il ...
    ... voyait mon porte-jarretelles. J'attendis qu'il eût fini ses signatures décroisait mes jambes et les laissais écartées.
    
    « Oooooohhhhh petite Salope, tu n'as pas de culotte non plus... des bas et un porte-jarretelles, j'adore. C'est pour moi ou pour Gérald avec qui je t'ai vu discuter dans le petit square que tu t'es habillée ainsi.
    
    - Non, c'est bien pour vous... dis-je en rougissant un peu. La dernière fois que vous m'avez fait l'amour... j'ai... j'ai bien apprécié...
    
    - En voilà une Trixie qu'elle est belle, splendide et gentille... »
    
    Il se leva et donna un tour de clé à la porte. Il avait changé de bureau et celui-ci était au premier étage, personne ne pouvait nous voir. Il revint vers moi, se mit derrière le fauteuil, ses grandes mains commencèrent à déboutonner les trois dernier boutons de la blouse, il l'écarta sur les accoudoirs. Ses mains englobèrent mes seins, il les soupesait, les caressait doucement, le bois bandé devait commencer à agir... ils réagissaient à chaque attouchement...
    
    « Tu as vraiment des seins admirables, ils ne sont ni trop gros ni trop petits, ils sont faits pour une main d'homme. Et ce qui est remarquable chez toi, ce sont tes tétons, je n'ai jamais vu des mamelons aussi érectiles que ça, regarde, je les tire, les griffe, les fait rouler entre mes doigts, attends, je me penche pour les mordre... Regarde, regarde, ils ont triplé de volume, c'est vraiment bandant.»
    
    Sous ses caresses, je gémissais, geignais, me tortillais dans tous les ...
«1234...7»