Mes voisines d'en face
Datte: 03/09/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Le Matou libertin, Source: Hds
... deux prénoms féminins suivis d’une initiale (du nom de famille ?). Je ne savais pas quoi penser après le spectacle que ces deux filles m’avaient laissé entrevoir. Etait ce un couple de lesbiennes ou deux filles bi qui, outre le fait de partager une colocation, se donnaient du plaisir ?
Dès que je suis remonté dans mon appartement je me suis lancé à la recherche de renseignements, d’abord l’annuaire téléphonique puis les réseaux sociaux les plus connus et là j’ai trouvé ! Toutes les deux étaient inscrites sur le plus ancien des réseaux. Et j’ai envoyé une demande de contact avec un message en disant à mots couverts ce que j’avais pu observer le matin même. En moi-même je pensai : « Qui vivra verra ! » Si elles répondent, tant mieux, si c’est un coup pour rien, ce petit show restera un joli souvenir.
Une semaine s’est écoulée et le vendredi soir j’ai eu un message très laconique en réponse : « Ce soir 21 heures à la fenêtre. »
A l’heure dite, je me suis posté sur mon balcon et je regardais vers la fenêtre de la salle de séjour de mes deux belles voisines : La baie est ouverte entièrement et comme la fois précédente, je vois une assez grande partie de la pièce. Comme dans une sorte de ballet bien réglé, une des filles apparait, vêtue d’une nuisette et de bas noirs. Elle ondule comme si elle suivait une mélopée langoureuse, se tournant tantôt vers moi, tantôt vers l’intérieur de la pièce. Elle semblait vouloir attirer quelqu’un avec sa danse qui tournait à l’érotisme car ...
... elle faisait courir ses mains le long de son corps, palpant les seins qui, de loin, me semblaient de bonne taille. Ou encore, elle glissait ses mains dans la fourche de ses jambes, remontait lentement jusque sur sa chatte. Il me semblait même qu’elle introduisait des doigts dans sa vulve ! C’était chaud et je commençais à me sentir à l’étroit dans mon boxer.
Puis l’autre fille est arrivée dans mon champ de vision. Elle ne portait qu’un soutif et un string de couleur mauve des plus réduits. Elle s’est mise à onduler devant l’autre avant de l’enlacer et de l’embrasser comme la semaine précédente. Oulla ! C’était de plus en plus chaud-chaud ! Ma bite était de plus en plus bandée à m’en faire mal tant elle était comprimée à l’étroit dans mon boxer surtout lorsqu’elles se sont déshabillées mutuellement. Avant de disparaitre de ma vue, elles m’ont fait comprendre de regarder mon ordinateur.
J’avais un message via le réseau sur lequel je les avais contactées : « Viens nous rejoindre, nous avons envie d’un homme pour baiser ! »
L’invitation était on ne peut plus claire : j’avais à faire à deux coquines bisexuelles qui avaient envie de s’envoyer en l’air avec le premier mâle disponible. J’ai pris une bouteille de champagne qui est toujours dans mon réfrigérateur et je suis allé les rejoindre.
Lorsqu’ensemble elles m’ont ouvert la porte de leur appartement, elles s’étaient quelque peu rhabillées : elles portaient l’une et l’autre un ensemble soutien gorge à demi-bonnets et ...