1. Laissez passer l'orage


    Datte: 03/09/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Scrup89, Source: Hds

    L’ORAGE
    
    Très chaude journée de juin. Je me trouve au bord d’un lac de montagne plutôt fréquenté. Quelques familles, des couples, des hommes seuls, comme moi, des femmes seules aussi.
    
    C’est la fin de l’après-midi. On dit souvent que le temps peut changer brutalement en montagne. C’est le cas. Le vent fraîchit et, en moins de dix minutes, le chaud soleil cède la place à un violent orage. Je suis pris. Mes vêtements complètement trempés, juste un arbuste pour m’abriter ; autant dire, rien. Tout le monde est parti. Tout le monde ? Pas sûr.
    
    - Retourne-toi, viens me rejoindre, j’ai de la place dans mon abri.
    
    D’abord je ne vois rien. Puis, j’aperçois une main qui me fait signe. Il y a une sorte de grotte, et quelqu’un dedans. Je me dépêche de monter. Bien que, mouillé comme je le suis, la vitesse ne changera pas grand-chose.
    
    Sitôt dans l’abri, je me rends compte qu’il y a juste une femme. Je devrais plutôt dire « une dame » ; elle a plus de soixante ans, quarante de plus que moi.
    
    - Approche-toi, tu ne peux pas rester comme ça.
    
    En effet, je grelote. Sans faire de chichi, elle m’enlève mon t-shirt, mon bermuda, et m’enveloppe dans une grande serviette éponge qu’elle manie avec énergie. Je me retrouve en slip à la merci d’une Mammie. Et je commence à avoir chaud, tandis que dehors l’orage redouble.
    
    - Je crois bien qu’il faut enlever ton sous-vêtement. Pour être bien sec. Ensuite tu vas te reposer.
    
    Pas le choix. Je me mets à poil, sous la grande serviette. ...
    ... Pudique, malgré mes vingt ans, et le caractère inhabituel de la situation. Je m’endors un moment.
    
    Lorsque je me réveille, l’orage a cessé. Il fait à nouveau beau et chaud. J’aperçois mes vêtements au soleil. Et j’aperçois la Dame . Pas nue, mais … presque. Ses dessous et sa tunique sèchent à côté de mes habits. Elle est juste couverte d’un genre de chemisier transparent.
    
    - Désolée ; je n’ai que ça de sec. Je vais m’étendre à côté de toi et dormir un moment ; laisse moi un peu de place sous la serviette de bain.
    
    Sitôt dit, sitôt fait. Me voici maintenant à poil, dans une grotte, seul avec une dame d’un certain âge, bien foutue au demeurant. Pas à poil, mais tout comme.
    
    Je fais semblant de dormir, mais ma main ne peut s’empêcher de filer vers ses tétines magnifiques. J’effleure, je caresse, je pince. Dort-elle vraiment ? Pas sûr, elle gémit, la cochonne !
    
    - Viens me téter, ça nous réchauffera tous les deux. Tu veux bien ?
    
    Je n’en reviens pas, je passe d’un sein à l’autre, les tétins sont droits comme des i et durs comme des bougeons. Elle continue à gémir ; non, elle crie un peu, elle se lâche.
    
    - Mords moi si tu as envie, mais pas trop fort.
    
    Alors là, c’est plus fort que moi, d’une main je tripote un sein comme si c’était un trayon, pendant que je suce et que je mords le second. Et je change pour qu’il n’y ait pas de jaloux. Alors, elle hurle « Merci, merci, continue encore, encore, encore… ». Je n’avais jamais vu ça. Et tout à coup, terminé. « Un gros ...
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