1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°998)


    Datte: 03/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... bandée, il nous emmène dehors. La sensation de ce nouveau corps glabre est incroyable, le moindre coup de vent fait frémir. Alain est attisé par sa sensibilité cutanée maintenant perçue au maximum. Alain ne sait pas si c'est cette douce caresse de la petite brise ou la ferme prise sur sa tige, mais son excitation est sans cesse renouvelée sans jamais s’affaiblir. Alain savoure cet appétit sexuel, ce profond désir de contact, de plaire et de servir...
    
    Le groupe est amené dans une autre grande salle au fond de laquelle Monsieur le Marquis est confortablement installé sur son trône sculpté aux Armoiries des Evans. Devant lui se trouve trois autres simples sièges en bois. Les deux plus petits sont des tabourets équipés de différents anneaux et au centre desquelles se dressent une épaisse tige droite. Le troisième siège ressemble à un fauteuil droit. Pierre et Marc sont menés par deux femelles esclaves aux tétons annelés, chacun vers un tabouret. Tous deux se retrouvent forcés sur la luisante et rigide tige de caoutchouc et sont maintenus en place tandis que leurs chevilles sont immobilisées de chaque côté. Même si, aux yeux d'Alain le tourment ne paraît pas trop sévère, Alain dans une première pensée est soulagé de ne pas devoir le subir mais dans une seconde pensée, il les envie presque ! Alain est conduit vers le fauteuil et ses poignets sont rapidement verrouillés aux accoudoirs, ses chevilles aux pieds du fauteuil, immobilisant son corps. Alain ne comprend pas ce qui ...
    ... l’attend mais cette sensation de ne plus rien diriger, de se laisser faire le rend satisfait et fier. D'autres sangles viennent immobiliser totalement Alain, le plaquant ainsi fermement contre le dossier en bois. L'inquiétude prend le dessus lorsqu'Alain sent un mouvement du siège qui se sépare en deux, écartant largement ses jambes, offrant une vue imprenable de son ancienne virilité et Monsieur le Marquis ne s'en prive pas. Alain peut voir une certaine crainte, certainement une satisfaction dans le regard du Maître et Propriétaire. Ce simple regard envoie chez Alain une image de l'avilissement dont il est le sujet et la puissance dans ces yeux bleus, profondément Dominateurs, amène encore et encore un durcissement inexplicable et un dégoulinement incompréhensible de sa verge si ce n'est l'ultime plaisir de servir et d'être humilié pour le pur plaisir du Maître.
    
    Une fois ses jambes écartées au maximum et verrouillées, sur un claquement de doigts, deux belles jeunes chiennes-soumises font leur entrée, poussant deux gros chariots qui ressemblent à de grosses caisses de bois. Le premier est ajusté entre ses jambes et fixé à son fauteuil. Sous le regard attentif et amusé de Monsieur le Marquis, le Majordome retire rapidement le couvercle pour révéler un étrange mécanisme. C'est comme une roue à aube ou comme les ailes d'un moulin, un axe circulaire autour duquel sont plantés ce qui ressemblent à huit plaques de caoutchouc. Walter ajuste la distance en posant une de ces plaques ...
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