1. Les classes (1)


    Datte: 02/09/2020, Catégories: fh, extracon, uniforme, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, historique, Humour Auteur: Lefolduroy, Source: Revebebe

    ... sa maîtresse et me conduisis à son boudoir. Nous nous assîmes l’un en face de l’autre mais de manière rapprochée.
    
    — Bonjour mon cher ami, j’ai effectivement lu ce fameux livre, donc je peux présentement le critiquer à loisir car il manque assurément de raffinements.
    — Je suis navré qu’il n’ait pas eu l’heur de vous plaire (À menteuse, menteur et demi, n’est-il pas ? Je savais quel effet le livre lui avait fait).
    — N’allez point vous mettre en peine, vous saviez que je n’aimais pas cette littérature.
    — Pour autant ne vous êtes-vous point identifié à l’héroïne de ce récit ?
    — Ma foi si, sur certains côtés notamment sur la rustrerie du mari mais jusqu’à prendre des amants !
    — Il en est ainsi parfois quand nécessité fait loi c’est-à-dire quand le mari ne mérite que d’être cornu.
    
    Tout en prononçant ce discours édifiant, je mis ma main sur sa cuisse (Instant délicieux de suspense pour moi allait-elle accepter cette avance ?)
    
    — Monsieur veuillez enlever votre main de ma cuisse ou sinon j’appelle mes serviteurs.
    — Vous ne seriez pas une mauvaise dame si vous cédiez à mes avances pour assouvir des envies des plus légitimes (Je continuais bien sûr à caresser sa cuisse sentant que sa ferme résolution s’évanouissait).
    — Monsieur je ne puis céder, c’est un crime dont Dieu me punira (Cependant elle me laissa faire).
    — Laissez Dieu aller au diable diantre !
    
    Je m’approchai de son visage et lui fis un baiser endiablé qu’elle refusa dans un premier temps puis elle ...
    ... s’abandonna mollement avant de reprendre ses esprits sans doute emplie de remords
    
    — N’allez point vous reprocher votre conduite votre rustaud de mari ne mérite que d’être cornu surtout que lui n’a oncques remords quand il vous trompe avec des ribaudes et des gueuses.
    
    Elle ne me répondit pas mais me laissa le champ libre pour mes investigations. Tout en mignotant sa bouche, je m’attaquai à son corset qui comprimait son admirable poitrine et m’empêchait d’avoir accès à de si beaux fruits. Il fallait une dextérité assez grande pour le délacer. Cette action me prit un temps considérable, pour autant voir au fur et à mesure ses seins s’épanouir valait toutes les peines du monde). Je rendis un hommage appuyé en les empaumant pour apprécier leur fermeté mais aussi le grain de peau si doux au toucher. Je poursuivis par des caresses plus subtiles pour exciter les mamelons qui ne tardèrent pas à durcir. Ma bouche remplaça une de mes mains pour baisoter et m’emplir des fragrances de son divin parfum. De son côté, elle ne resta pas inactive puisqu’elle vint masser non pas mon appendice nasal mais un autre qui goûta ses caresses comme il se doit.
    
    — Votre vit me semble fort à l’étroit, ne serait-il pas juste de le libérer de ses entraves ? dit-elle d’un air gourmand.
    — Ma mie vous avez d’autant plus raison que je ne reste pas insensible à vos charmes. Daignerez-vous mettre en bouche ma protubérance pendant que je m’occuperai de votre délicat coquillage ?
    
    Ainsi fut dit, ainsi fut fait ...
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