Histoires d'un mâle alpha (3)
Datte: 02/09/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory
... temps, alternait entre mon pieu et mes couilles. Elle les aspirait, elle jouait aussi de sa langue sur mon gland. Elle caressait son visage avec ma bite raide. Je ne pensais à rien. J’étais bien. Enfin non, je mens : je pensais à elle, et... à sa mère, leurs deux bouches sur ma queue. Ma queue passant d’une poitrine à l’autre, de la fille à la mère. J’ai joui dans sa bouche. Elle a avalé. Puis a nettoyé ma queue de sa bouche. On a parlé encore un peu. Puis, elle voulait rentré.
— Il vaut mieux que je rentre.
— Tu peux rester tu sais.
— Je sais, c’est gentil, mais j’ai des trucs à faire demain.
— Ouais, moi aussi. Je ne suis qu’un petit lycéen.
— Petit ? Vraiment ?
On a ri. Je l’ai embrassée.
— Je propose à ma mère pour samedi, tu es sûr ?
— Oui oui, c’est bon.
— Ok. Donne moi ton numéro.
Je lui ai donné. Elle s’est éloignée en roulant du cul de manière exagérée. Je souriais. Elle a juste lâché un « pense à moi bébé ».
— Toi aussi ma belle.
Je me suis endormi finalement et ai dormi trois heures. Je me suis réveillé avec une trique d’enfer. Je pensais à Juliette, à Karine, à mon portable. À Manon. Je me suis aussi surpris à penser à Élise et Sophie. La douche m’a fait du bien. J’ai mangé comme quatre au petit dej. On était jeudi matin. Vendredi soir, Élise, la copine de Manon, organisait une soirée de rentrée chez ses parents, c’était apparemment une petite tradition pour elle. Tant mieux. Cela me laissait deux jours pour avancer avec Manon, ...
... c’était court mais jouable. Samedi soir, diner avec Juliette et Catherine. Parfait. J’arrivais au lycée, en retard. Mais le prof ne me dit rien. Privilège de... non, de rien, juste la peur. Eh eh. Je me suis glissé à côté de Manon. Elle était à tomber. Une mini-robe verte et blanche, moulante, un peu décolletée et qui avait l’air très très courte, avec des mules à talons compensées. Dès que je suis entré dans la salle, j’ai senti qu’elle ne me quittait pas des yeux. On n’a rien dit durant de longues minutes. Quand je suis revenu après l’intercours, mon portable était posé à ma place. Je l’ai mis dans ma poche.
— La lecture a été bonne ?
— Je suis encore vivante si c’est ça la question.
— Me voilà rassuré. Vivante, et à tomber ce matin.
— Oh... merci Isaiah.
— C’est pour moi ?
— Pour toi quoi ?
— Que tu t’es faite aussi belle ?
— …
— J’adore savoir qu’une jolie fille s’est habillée en pensant à moi le matin.
Elle se tourne vers moi. Et me sourit. Et elle glisse un papier devant moi. C’est le papier de ses échanges de la veille avec Élise et Sophie. Je le prends, non sans poser d’abord ma main sur la sienne. Étrangement, ou non, elle la laisse quelques longues secondes avant de la retirer. Je la retiens. C’est capital : qu’elle réalise qu’elle a mis le pied dans la porte mais que c’est moi qui ouvre ou ferme la porte. Je lui rends la liberté. Elle ne s’en va pas de suite. Puis elle baisse les yeux en souriant et pose sa main sur sa cuisse. Je vais ...