1. Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres… (4)


    Datte: 02/09/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    ... vérifier que pendant plus de trois quarts-heure, par derrière, je vais pilonner sa cramouille, alternant les moments de douceur et la brutalité de la pénétration de mon mandrin.
    
    Pour varier les plaisirs, je l’ai prise quelques minutes, de face, assise sur le plan de travail.
    
    Pendant tout ce temps Chloé ne va pas arrêter de crier – elle a le plaisir sonore – suppliant que j’arrête puis me demandant de continuer. Elle réclame crument ma bite entre deux orgasmes. Elle est ballotée dans tous les sens. Je tire sur ses longs cheveux défaits pour accentuer la cambrure de ses reins. Ses fesses sont un appel au viol. Je n’ai jamais été aussi dur. Il est temps maintenant de l’enculer. Mes doigts récupèrent sa mouille pour lui enduite l’anus. Elle est tellement fatiguée par mes assauts qu’elle ne réagit même pas.
    
    J’ajuste mon vit sur sa corolle plissée et je pousse sans aucune précaution car je veux la briser. Elle pousse un hurlement mais sans coup férir je le fais aller jusqu’aux couilles. Je la laisse respirer alors que les larmes emplissent ses yeux et pendant encore un bon quart d’heure je vais lui défoncer le fion. Ces cris de douleur vont vite être remplacés par des gémissements de bonheur. Je vais la faire jouir du cul trois fois. Elle me dit à chaque fois que je suis un baiseur de première. Ça flatte mon ego.
    
    Je programme alors le troisième acte. Je l’entraîne vers le canapé ; elle me suit obéissante ; et je la fais coucher la tête pendante hors de l’accoudoir. ...
    ... Je fais signe à Léa pour qu’elle vienne lécher la chatte de sa copine pendant que je lui coïterai la bouche.
    
    Chloé a une réaction de rejet quand mon sexe franchit ses lèvres. Elle ne manque pas de constater qu’il sort de son cul et qu’il sent la merde. Elle ne veut pas continuer. Je lui tords ses tétines. Sous la douleur elle ouvre sa mâchoire et je peux alors, à loisir, pénétrer jusqu’à sa luette. Elle hoquète, manque de vomir, mais je lui donne des indications pour qu’elle puisse m’accepter entièrement. Je peux alors, par de petits mouvements, jouir dans sa gorge et lui faire avaler de longs jets de mon sperme.
    
    Je me retire, la fais relever et la prends dans mes bras. Je lui baise les lèvres. Elle répond violemment à mon baiser. Nos dents s’entrechoquent. Elle me serre fortement dans ses bars et s’abandonne en me confiant :
    
    — Ta sœur ne m’a pas menti. Tu es un sacré amant. Jamais je n’avais été baisée comme ça. Tu es inépuisable. J’ai cru que j’allais mourir tant tu m’as fait jouir. J’ai tellement appris en si peu de temps.
    
    — Alors tu veux qu’on continue ? Sache simplement qu’il te faudra franchir d’autres paliers. Ma sœur le sait déjà je suis très exigeant.
    
    — Oh oui je ne suis pas rassasiée.
    
    — Alors comme pour ma sœur, je dois te suffire. Donc à partir de maintenant tu deviens mon exclusivité et tu m’obéis. Plus de copains ; tu as pu constater qu’ils étaient nuls ; tous tes instants de loisirs tu les passeras ici. Tu as prévu quoi ce soir ?
    
    — Rien je ...