1. Les vacances de Julie (5)


    Datte: 02/09/2020, Catégories: Trash, Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    ... l’eau pour pouvoir nettoyer ce foutre qui séchait déjà sur son visage. Depuis le bord, assis sur un gros tronc d’arbre, je l’ai regardée se baigner nue, une vraie naïade. Ses cheveux bruns qui tombaient sur ses épaules et dégoulinaient sur ses seins. Ses tétons durcis par la fraicheur de l’eau. J’avais envie de la rejoindre, mais c’est finalement elle qui est sortie de l’eau.
    
    — Elle est bonne ? lui ai-je demandé.
    
    — Fraiche, m’a-t-elle répondu en s’asseyant sur le tronc à côté de moi. Mais ça fait du bien.
    
    Julie s’est alors allongée à même le sol pour laisser son corps sécher au soleil. Je me suis alors allongé à côté d’elle, et un peu fatigué par la route, je me suis assoupi.
    
    Lorsque je me suis réveillé, le soleil commençait à se coucher, mais surtout, il y avait cette ombre qui nous surplombait. Un homme nous regardait, et il ne s’en cachait même pas. Ses yeux étaient rivés sur le corps nu de Julie, et quand il s’est aperçu que je l’avais remarqué, il ne s’est pas arrêté de mater pour autant. Je lui adressé un léger signe de tête, et j’ai poussé un peu Julie, qui dormait encore, afin qu’elle se retrouve sur le dos. L’homme avait donc tout le loisir d’admirer sa superbe poitrine et son sexe. Je me suis ...
    ... relevé, lentement, sans geste brusque afin qu’il comprenne que j’étais là en ami.
    
    L’homme était massif, grand, une vraie force de la nature. La soixantaine environ, il avait un air dur, caché sous la visière de sa casquette, et sa grosse barbe grise. Aux vêtements un peu crades et aux bottes en plastique boueuses qu’il portait, j’ai compris qu’il s’agissait sûrement d’un agriculteur du coin. Une idée m’est alors venue, et après lui avoir serré la main, j’ai demandé :
    
    — Vous sauriez où l’on peut dormir cette nuit, par hasard ?
    
    Évidemment qu’il savait. Il m’a immédiatement proposé de dormir chez lui, il vivait dans une petite maison à trois kilomètres, juste à côté de son exploitation agricole.
    
    — Un peu de compagnie ne sera pas de trop, a-t-il même ajouté avec un sourire légèrement édenté.
    
    — Merci beaucoup, c’est très aimable à vous !
    
    Je me suis alors agenouillé près de Julie, et l’ai lentement réveillée en secouant son épaule. Elle m’a d’abord souri, puis remarquant à son tour l’armoire à glace derrière moi, a eu un mouvement de recul et a caché ses seins d’une main.
    
    — Pas de ça, ai-je dis sèchement en retirant sa main. Monsieur nous invite pour la nuit, ne commence pas à être malpolie. En route. 
«1234»