1. Maman au concert (6)


    Datte: 17/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: yphos, Source: Xstory

    ... l’amour. Et ce ne sont pas n’importe quelles femmes, ce sont celles de mes fantasmes, depuis toujours !
    
    Craignant d’être surpris à écouter aux portes, je retourne rapidement au salon.
    
    Bien m’en prend, car les deux sœurs me rejoignent peu de temps après. J’ai une gaule terrible, qui n’est pas prête de débander, car je vois que maman a troqué son pantalon pour une robe courte et tellement moulante qu’il est facile de remarquer qu’elle est nue dessous.
    
    Ses seins sont gonflés, ses tétons saillants, ses fesses sont mises en valeur à travers cette robe, qu’elle met pour la première fois à ma connaissance.
    
    Elle se recoiffe sommairement face au miroir de l’entrée, le visage encore rosi par son trouble récent. Charlotte me fait un clin d’œil en me désignant le postérieur de ma mère, qui nous tourne le dos, mais maman a remarqué son manège dans le miroir.
    
    Elle se retourne et lance à Charlotte un regard faussement chargé de reproches, car son sourire est plutôt coquin. Je me sens rasséréné de remarquer que maman est de meilleure humeur maintenant.
    
    Charlotte choisit de s’installer dans le canapé et m’invite à m’asseoir près d’elle. Maman s’absente quelques minutes pour préparer l’apéritif et... ma tante en profite !
    
    Charlotte se tourne vers moi, pose une main sur mon épaule et l’autre sur mon genou et me chuchote : « Tu as beaucoup changé Denis ! »
    
    Lentement sa main glisse du genou à l’intérieur de ma cuisse et moi, je la laisse faire, mieux, j’écarte les ...
    ... jambes !
    
    La progression de sa main s’accélère et ses doigts effleurent délicatement mon sexe durci et mes testicules. Elle ne me quitte pas des yeux durant tout le temps qu’elle me caresse, puis me pétrit le sexe à travers mon pantalon.
    
    Je crois que, submergé par l’émotion, je vais juter sous peu. Charlotte s’en aperçoit, cesse de me caresser et reprend une posture plus sage alors que maman arrive les bras chargés.
    
    Je m’empresse de l’aider, en tentant de dissiper mon trouble, mais ma queue tendue déforme trop ma braguette pour passer inaperçue. Maman a remarqué que je bandais comme un cerf, mais ne fait aucun commentaire. Pour tenter de me dédouaner, je lance le disque de son crooner préféré, celui que nous avions vu en concert...
    
    Tout de suite, ma mère et sa sœur balancent la tête en rythme en fredonnant la chanson.
    
    Le temps de cet apéro, tous les trois sommes détendus et joyeux. Très souvent Charlotte se tourne vers moi pour me prendre à témoin de ce qu’elle vient de dire. Ce faisant, elle frotte souvent son genou contre le mien ou le laisse en contact suffisamment longtemps pour que le trouble me reprenne.
    
    Ma tante glisse soudainement dans la conversation :
    
    — J’aurais besoin de quelqu’un qui puisse s’occuper de ma pelouse, je pourrais compter sur toi, Denis ?
    
    — Bien... Bien sûr... Si tu veux ! Réponds-je en bégayant
    
    — Ça ne te gêne pas, Claire, si je t’emprunte ton fils demain, pour qu’il s’occupe de mon gazon ?
    
    — Euh, non, il n’a pas cours demain ...
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