1. Les interviews de Sophie (EPISODE 2)


    Datte: 01/09/2020, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Jeannette la FDC, Source: Hds

    ... tenant plus, avait attrapé m à pleines mains. Je dis alors à Sophie que l’homme était revenu, qu’elle pouvait jeter un regard discret vers la fenêtre juste en face, celle avec des rideaux jaunes.
    
    - Mais il ne se cache pas du tout ! Il sait qu’on le voit non ?
    
    - Je ne pense pas. Je ne lui ai jamais fait aucun signe. Fais comme si de rien n’était, on va voir si il se permet quelque chose. Oublie-le, c’est l’heure de mon quatre heures. Offre-moi ta jolie petite chatte ; je veux qu’il te voit jouir sous mes coups de langues. Viens, pose ton petit cul sur le bord du transat, et laisse toi aller. Comme ça…
    
    Je saisis ses deux chevilles et lui écartai brusquement les cuisses. J’observai d’abord son sexe déjà tout humide, comme j’avais toujours eu l’habitude de le faire avant de me mettre à l’œuvre. Cette découverte, à chaque fois, m’émouvais. J’avais grandi dans la même région que Gustave Courbet, et je m’étais toujours demandé si son Origine du monde n’était pas une des sources de cet attrait presque magnétique que provoquait chez moi la vision d’un sexe féminin. J’avais découvert le tableau à l’école élémentaire, et l’avais alors longuement observé, complètement subjuguée par le charme naturel de la chose. Depuis, … je n’ai pas besoin de vous faire un dessin. Allez donc admirez ce magnifique tableau !
    
    Ses lèvres gonflées m’inspirèrent davantage encore. J’y administrai quelques baisers langoureux, qui firent frémir ma douce. Puis ses lèvres me happèrent, je me mis à les ...
    ... laper, délicatement, de bas en haut. Elle s’ouvrait devant mes yeux émerveillés, m’invitant à entrer en profondeur dans le sujet. Je blottis ma langue a l’intérieur de son petit sexe béant, et goutai alors à son jus délicieusement salé. Je la léchais longtemps, en prenant soin d’aspirer son petit clitoris a intervalles réguliers. Son suc m’inondait la bouche, et la belle, le corps tendu, gémissait de plus en plus fort. Elle attrapa soudain ma tête et l’appuya avec force contre son sexe. J’eus la sensation de pénétrer son vagin humide avec l’intégralité de mon visage. Mes sens olfactifs étaient dans tous leurs états : j’inspirais a grande bouffée l’odeur de sa chatte, m’en imprégnant, la dévorant… elle jouit dans un long cri étouffé, en plantant ses ongles dans mon cuir chevelu. La douleur me fit aller encore plus loin, et j’agitais son petit bouton à une allure folle, ce qui provoqua un nouveau jet puissant. J’ouvris grand la bouche pour en accueillir le plus possible. Je gardais son liquide dans ma bouche fermée et vint m’allonger sur elle pour lui administrer un énorme patin afin de partager avec elle le fruit de sa jouissance. Je crachais dans sa bouche une partie de son âpre nectar. Elle fit la grimace, ma bascula sur le dos, maintint ma bouche grande ouverte et fit couler en filet ce qu’il lui restait en bouche. Je déglutis en lui souriant.
    
    - Je n’ai jamais rencontré de cochonne de ton acabit. C’est si bon de se laisser complètement aller ! Oh ! Regarde discrètement ...