1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1060)


    Datte: 01/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... renversais la tête en arrière, tant j’avais envie d’être prise, pénétrée, baisée! A un feu rouge, la Rolls-Royce s’arrêta et un scooter attendait comme nous le feu vert. Et le conducteur regardait à l’intérieur de la Rolls-Royce la scène où le Maître était en train de me branler...
    
    - Maître, dis-je lui désignant la moto, on nous regarde !
    
    - Walter, abaisse la vitre, s’il te plait !
    
    - Bien sûr, Monsieur le Marquis.
    
    Tandis que la vitre s’abaissait, que le Noble continuait de me travailler plus fortement encore, alors que j’étais au bord de l’extase, il s’adressa au conducteur du scooter.
    
    - Bonsoir cher ami !
    
    Etonné le conducteur du scooter hésita un instant, puis, relevant la visière de son casque,
    
    - Bonsoir Monsieur !
    
    - Ne soyez pas gêné mon ami, regardez franchement ! Ne vous gênez pas, ma chienne aime cela, n’est-ce pas petite chienne ?
    
    Il dit cela en accélérant très brutalement ses mouvements de doigts et dans un brouillard absolu, je répondis :
    
    - Ouiiii Maître, j‘aime ça !
    
    - Alors, tu vas dire à ce monsieur qui tu es !
    
    - Je… Je suis … une petite chienne en chaleur …
    
    - Si vous voulez caresser son téton, ne vous gênez pas, mais faites vite le feu va tourner au vert.
    
    Le conducteur hésita une seconde, et tendit le bras attrapant mon téton droit qu’il faisait rouler entre ses doigts. J’étais au bord extrême de l’orgasme quand le feu vira au vert, le conducteur sortit son bras, Walter redémarra, et le Maître retira ses doigts me ...
    ... laissant à nouveau dans un manque atroce de jouissance. Mon bas-ventre, lésé criait famine, comme des contractions inassouvies… Je sentais sous mes fesses que je mouillais comme la salope que j’étais devenue et en plus j’en étais fière… Négligemment, Il me dit :
    
    - Au fait, tu ne m’as rien caché de ta vie, bien sûr ?
    
    Très surprise de sa question et subitement craintive...
    
    - Non, bien sûr, Maître.
    
    - Bien, bien ! Pourtant quand tu avais dix-huit ans... (Je l’écoutais et réfléchissais fortement)
    
    - Oui, Maître, dix-huit ans ?
    
    - Etudiante ?
    
    - Euh oui, Maître…
    
    - En Pharmacie, je crois, en veux-tu un peu plus ? Montpellier cela ne te dit rien ?...
    
    Subitement la mémoire me revint, je rougis fortement, mais co… comment sait-il cet épisode de ma vie ? Je répondis :
    
    - Oui en effet, Maître, je me souviens maintenant ce que vous voulez dire mais je vous assure que je n’ai pas voulu vous le taire. Seulement je ne m’en souvenais plus.
    
    - Ah ? Alors tant mieux pour toi.
    
    Je restais silencieuse subitement très mal à l’aise à l’évocation de ce mauvais souvenir qui avait laissé des traces profondes en moi et que j’avais enfoui très loin dans mon subconscient, comme pour oublier ce que je considérai être un cauchemar. Ce souvenir cuisant avait conditionné par la suite ma carrière de mannequin et me le faire remonter ici, en ce moment si merveilleux, le soir du début de mon chemin d’esclave, m’était subitement particulièrement atroce voire sadique même. Le Maître s’en ...