1. le scénario dont tu es l'héroïne (1)


    Datte: 31/08/2020, Catégories: Hétéro Auteur: Swingme, Source: Xstory

    ... sexe et pars à la recherche du tien. Tu me guides, pressée d’être remplie de moi. Enfin, ce contact magique, la chaleur qui nous envahit et nous ne faisons plus qu’un, violemment, instantanément. Dans un claquement de mon pubis contre tes fesses, je te presse contre le mur. Ton visage de profil, une joue écrasée contre la paroi, tes seins sont compressés, ton dos trempé collé à ton haut, et par transitivité, au mien et à mon buste. Un seul corps. J’agrippe tes hanches pour accentuer la profondeur de ma pénétration et te baise copieusement. Chaque entrée replie mon prépuce, et ton sexe, se resserrant sur ma verge, déclenche une lame de plaisir qui se propage dans tout mon corps.
    
    Tu me sens tout au fond de toi, te remplir, stimuler tout ton vagin, tandis que régulièrement, mon corps vient brûler tes fesses avant de se retirer. Tu libères une main pour te caresser, ajoutant à ton désir et à ma pénétration brutale la perfection du plaisir clitoridien, que tu sens monter, monter, à mesure que tes yeux se ferment, ta conscience de mes va-et-vient s’effrite, noyée sous le plaisir qui irradie depuis ce bout de chair étonnant.
    
    Quelle magie que ces deux corps, ces deux êtres, deux esprits, fusionnant dans un ...
    ... combat à sens unique, brutal, intense, inexorable, vers une seule destination, le plaisir animal. Enfin je m’immobilise, paralysé un instant par mon orgasme, et je t’inonde de ma semence, te limant encore et encore, ravi de tes spasmes extatiques.
    
    17. L’idée te trotte dans la tête depuis le début de l’après-midi. Jusqu’à présent, tu t’es retenue, mais à grand-peine, de t’approcher, te coller à moi, plaquer ta main contre mon bas-ventre moulé dans ce nouveau jean si doux. Tu sens le désir monter en toi, ta culotte palpiter à mesure que tes yeux me détaillent, que ton esprit se plaît à imaginer un coït des plus sauvages, là, dans le salon.
    
    Si tu me crois insensible à ton petit ménage, tu te trompes lourdement. J’ai bien saisi tes œillades, tes hésitations, ton pull qui dénude largement une épaule, donne accès à la bretelle de ton soutien-gorge en dentelle, et par transitivité, à ta gorge, tes seins… Je ne rêve plus que de te prendre, sans tarder…
    
    Aussi quand tu me frôles innocemment, à moins que ne soit parfaitement volontaire, je perds tout sens commun, attrape ton poignet, te plaque à moi et t’embrasse avec fougue.
    
    Si tu veux de l’action contre le mur, va au 3 ; si tu préfères la table, va au 9. 
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