1. Mais oui, c'est elle - 8 : je l'ai dans la peau ça devait arriver


    Datte: 31/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... amusantes à la fois. Il a voulu voir mes seins et m'a tendu un billet de cinquante euros pour que je déballe ma poitrine. Moi qui pratique les seins nu gratuitement sur les plages j'ai été plus amusée que choquée et il a vu ce qu'il voulait voir mais sans toucher autrement qu'avec les yeux. Pour cinquante euros supplémentaires il a vu ma culotte. La situation a pris un autre tour quand il a sorti de son pantalon sa verge et m'a proposé de la prendre en main. J"ai été sauvée par l'arrivée de la personnequ'il avait convoquée. Il m'a remis une carte de visite et m'a invitée à lui rendre visite aujourd'hui. Il devait me donner 200 euros et je devrais me montrer davantage.
    
    - Tu n'as pas compris qu'il t'attirait dans un endroit où personne ne viendrait te sauver de tentatives plus hardies de cet audacieux ? Tu n'es pas une gourde, alors tu n'as pas pu répondre à ce genre d'invitation. Parle-moi plutôt de ce que tu as fait aujourd'hui.
    
    - Ce type m'intriguait, je n'ai pas résisté à l'envie de savoir ce qu'il attendait de moi. Gagner deux cents euros pour m'exhiber et revoir son sexe de forme étrange, ça m'a poussé à réaliser un fantasme dont je n'ai parlé à personne : voir un homme nu autre que mon premier amour et différent de mon mari.
    
    - Tu es donc lasse de moi et il te faut rencontrer d'autres hommes. Pourtant les intentions de cet individu ne pouvaient pas se limiter à une simple exhibition. Assurément il comptait faire l'amour avec une femme assez délurée pour étaler ...
    ... ses nichons ou sa culotte. Il ne doublait pas la prime pour simplement te regarder au fond des yeux ou pour voir ton string entre tes fesses . Et toi tu savais ce qu'il attendait de ta visite. Tu as passé ton après-midi chez lui ? A faire quoi que tu ne pouvais pas faire avec moi. Tu ne m'aimes plus ?
    
    - Oh, non, ne dis pas ça. Je t'aime. Je n'ai pas agi contre toi, je n'ai pas voulu te faire du mal. Je suis ma propre victime. Ma curiosité m'a entraînée à m'exposer. Je me croyais forte, capable de résister à un bonhomme de cinquante ans. J'avais repéré sa maison, j'avais vu une grosse berline dans sa cour
    
    - Sans compter une grosse bite : tout ce qui est gros te fascine ma parole !
    
    - Il y avait quelque chose d'étrange, j'ai voulu savoir ce que cachait la façade, j'y suis allée avec des sentiments mélangés de curiosité et de crainte. Je me suis dit que tu ne saurais rien de cet écart et que tu n'en souffrirais donc pas. Depuis nos débuts, c'était mon premier et seul faux pas. Après mon fantasme s'évanouirait, je continuerais à t'aimer et tu m'aimerais toujours autant. L'erreur éait double, je le constate maintenant. Tu sais et tu me méprises.
    
    - "Monpremier faux pas" dis-tu. La facilité de ta démarche permet d'en douter. Admettons. Quant à croire que ce sera "le seul" c'est ignorer qu'il n'y a que le premier pas qui coûte. Mettre le doigt dans l'engrenage, c'est s'exposer à y voir engloutir le bras et le reste du corps. Tu as commis un premier adultère avec un homme de ...
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