1. L'Île de Marana Chapitre 09


    Datte: 31/08/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: byOmegaNu, Source: Literotica

    Au matin, il pleut toujours. Je me réveille seul et me lève pour voir la pluie tomber drument. J'aperçois toutes mes affaires n'importe comment par terre, trempées, sales. Je sors les chercher pour les ramener dans la grotte. Je n'en retrouve même pas la moitié.
    
    Les femmes sont déjà vêtues de leur tenue de marche, bardées de cuir noir.
    
    Pendant le petit déjeuner fait de pain et de fromage, l'une d'elles demande.
    
    — Que fais-tu? Tu veux voyager avec nous vers Mar'Salla?
    
    — J'aimerais, mais toutes mes affaires sont trempées, enfin celles que j'ai retrouvées. Je vais sans doute les laisser sécher avant de continuer.
    
    — Tu peux venir avec nous et les laisser sécher ce soir, nous avons un bel endroit de camp.
    
    — D'accord, réponds-je. Je vais ranger mon sac.
    
    Je vais voyager tout nu, me dis-je excité. Nu en compagnie de ces belles géantes.
    
    Quand mon sac est prêt, il manque sans doute la moitié. Il est beaucoup plus léger. Je le passe sur mon dos et nous sortons dans la pluie. Au moins, marcher nu dans la pluie n'a pas le désavantage de porter des vêtements mouillés. C'est vraiment génial d'être tout nu, et encore plus génial d'être le seul garçon nu en compagnie de ces géantes noires.
    
    Nous restons le long de la rivière. Il n'arrête pas de pleuvoir, mais le temps devient plus clair. Souvent, nous voyons des bateaux passer, toujours avec des géantes noires et des filles touristes. Elles me regardent comme une bête de foire et je me sens si ridicule tout nu au ...
    ... milieu de ces belles et puissantes amazones géantes. C'est parfois difficile pour moi d'avancer à leur pas, et alors, l'une d'elles me prend dans ses bras et me porte sur plusieurs kilomètres. Tout seul, j'aurais déjà arrêté il y a plusieurs kilomètres.
    
    Il doit sans doute être 15h quand nous arrivons à un confluent d'une rivière qui se jette dans la grande. Nous ne la traversons pas, et bifurquons pour remonter cette rivière environ un kilomètre en amont. Il y a une sorte de plateforme à une dizaine de mètres en hauteur. Une femme m'accroche à son dos et grimpe facilement les rochers jusqu'à la plateforme. C'est superbe comme endroit, avec une caverne encore où je suis content de m'abriter enfin de la pluie. Je dépose mon sac et retire les affaires trempées. Tout commence à sentir et je suis obligé de sortir et de relaver. Il faudrait que je descende à la rivière.
    
    — Laisse cela, me dit une femme, et accompagne-nous pour chercher du bois.
    
    Elle m'accroche à son dos et nous descendons. Elles m'emmènent dans un sous-bois assez dense et nous ramassons du bois sec. Quand il y a un grand tas, nous retournons vers le campement. Je porte un gros paquet de brindilles et elles ont des bûches qui semblent assez lourdes.
    
    Nous remontons la falaise et arrivons sur la plateforme. Il pleut encore. J'entre dans la grotte avec mon fagot et remarque qu'il y a encore plus de femmes. L'une d'elle s'approche.
    
    — Voilà notre petit Arno, dit la femme que je connais. Tash'A, fantastique en ...
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