Marie
Datte: 17/04/2018,
Catégories:
Hardcore,
Mature,
Première fois
Auteur: ahtile, Source: xHamster
... carreaux pour vérifier ses dires. Marie s’accroupit face à moi, m'offrant une vue imprenable sur ses jambes, l'intérieur de ses cuisses et sa petite culotte. Je lève les yeux vers elle, elle me sourit, puis écarte un peu plus des genoux. René qui est de coté ne voit rien mais comprend ce qui ce passe, me regarde et me fait un clin d’œil qui me fait comprendre qu'il à bien compris son manège. Il se lève, annonce à Marie qu'il interviendra dans les plus brefs délais et prend congé en prenant l'escalier. Marie le suit et je lui emboite le pas. En montant l'escalier hélicoïdal, je ne peux n’empêcher de regarder sous la robe, les fesses de Marie qui dandinent en montant les marches. Une fois à la porte, elle remercie René pour son professionnalisme, lui serre la main et referme la porte. Elle revient vers moi, puis me dit en posant une main sur son front et prenant les escalier qui mènent à sa chambre:
- " Mince, je crois que j'ai oublié quelque chose pour le menuisier, excusez moi, j'avais préparé une petite liste que je n'ai pas sorti, je vais la chercher."
Elle revient et debout à un mètre de moi, lit des yeux la feuille qu'elle tient à deux mains.
- "Voilà, je savais que j'avais oublié quelque chose. C'est la terrasse bois à l'extérieur, la grosse poutre, elle est très fendu. J'espère que ce n'est pas grave." me dit-elle d'un air inquiet.
- " Allons voir ça" répondis-je.
Nous sortons sur la terrasse, une terrasse d'une trentaine de mètre carré, en bois, ...
... positionné à un mètre au dessus du jardin. Nous nous avançons jusqu'au garde corps puis elle me dit:
- "c'est la grosse poutre la dessous qui m'inquiète."
- "je vais aller voir ça de plus près." dis-je en enjambant le garde corps.
Je saute, m'approche du point litigieux et m'accroupis pour constater que la poutre a simplement travailler un peu et que quelques fissures se sont ouverte. je sors de sous la terrasse et là, Marie, accroupit, deux mains posées sur un barreau du garde corps, les genoux largement écartés. L'arrière de sa robe touchait le sol, le devant avait glissé sur ses cuisses. Elle me regardait fixement avec un grand sourire, mes yeux étaient, eux, fixés sur son entre jambe déculotté. Elle avait profité de l'excuse de sa liste pour retirer sa culotte et m'offrait maintenant une vue sur son intimité. C'était la première fois que je voyais un sexe glabre, c'était chose très rare à l'époque, un sexe nu, comme celui d'une enfant, tout en étant clairement pas celui d'une adolescente pré-pubère. Son sexe était beau, des grandes lèvres bien fermées cachant presque la totalité des petites, tel un abricot juste fendu près à être dégusté. Mon regard a toutes les difficultés du monde à quitter cette merveille. je finis par la regarder dans les yeux et lui dire:
- " Marie, la poutre n'a rien, les fentes constatées sont normale, il n'y a rien à faire. Par contre, j'en vois une dont-il faudrait s'occuper urgemment. Voulez vous que j'intervienne?"
- "Avec grand plaisir, ...