1. BEL AMOUR de Miradouchka ?!


    Datte: 31/08/2020, Catégories: Humour BDSM / Fétichisme Auteur: liviatr, Source: xHamster

    ... une poussée intérieure, intérieure seulement, cet ample frémissement de son inéluctable marée montante femelle,
    
    Il le ressent tout comme ses propres impulsions mâles exquises.
    
    Le fumet du sexe mâle monte à son tour par effluves continues et se mêle au sien à elle, de plus en plus abondant, pénétrant. Les quatre narines androgynes palpitent à l'unisson de la respiration des deux sexes non pas saccadée mais paisible, continue, marine, cosmique.
    
    Beaucoup plus tard, insensiblement ils se pénètrent, vagin-pénis en pénis-vagin en vagin-pénis, après que l'extérieur et l'intérieur se sont déjà confondus.
    
    Un murmure d'une sonorité encore inconnue émane de cet être unique si joliment odorant, à la respiration silencieuse si douce, si douce, si apaisante: "Plus jamais sans toi...Rien ni personne ne nous sépare..."
    
    Ils se lèvent enfin et quittent lentement le jardin, bras dessus bras dessous. Après une halte d'elle assez longue aux toilettes spacieuses d'un café, ils longent le restaurant "La côte de bœuf ", à quelques cent pas de là. Le gérant sort à sa rencontre, engage une conversation, lui prend le bras, lui tient la main, lui dit au revoir tendrement. "Il est revenu", lui dit-elle gaîment, en désignant Bogomiel qui se tient poliment à l'écart. Enfin elle le quitte, pleine de grâce, en se baisant l'index et le médius à son adresse, sûre de soi. C'est Adrian l'Espagnol divorcé qui l'entretient depuis déjà plusieurs mois et l'invite chez lui en banlieue campagnarde, ...
    ... elle vient d'en informer Bogomiel au jardin, en précisant au passage: "J'ai fait l'amour avec lui une fois, une seule fois..." Quelle désinvolture dans le mensonge! Si jamais c'était vrai, la seconde fois sera ce soir et tout le week-end, à n'en pas douter.
    
    Le lendemain soir, dans le lit, en effet, de son nouvel amant, Mira lui raconte, en regardant le plafond: "Je me dégage soudain de nos touchers, caresses et enchevêtrements, je me dresse et me dirige vers les toilettes du café. Il m'accompagne jusqu'à la porte dans laquelle je disparais. Dans l'espace clos, toute seule, pleine de lui comme si je le digérais par une lente combustion très agréable, debout les jambes un peu entrouvertes j'effleure à peine de mon médius droit, sous ma culotte, les lèvres humides tout odorantes, et le clitoris tout petit dressé comme un coq et frémissant à vue d'œil, luisant des sécrétions des deux heures précédentes. Puis je m'assieds sur le trône en me déculottant lestement, car ça presse, j'écarte large les cuisses, je les caresse tendrement des six grands doigts de mes deux mains et de leurs paumes entières un moment. Mon désir monte à son comble. La main gauche caresse par effleurements du bout de ses trois grands doigts et de la paume mes petites lèvres, mon clitoris, mes cuisses et l'aine gauche et le ventre, jusqu'au nombril parfois. Ma main droite enfourne son médius et l'index dans mon vagin trempé, en les courbant un peu, une fois noyés dans les sécrétions intérieures, vers le bas, ...