1. Une étreinte vraiment silencieuse ?


    Datte: 29/08/2020, Catégories: fh, fbi, couleurs, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Humour couple, Auteur: Sissi, Source: Revebebe

    ... d’arabe que je connais ne suffiront pas à briser aujourd’hui… Jusqu’au bout, je me retiens de lui faire des avances, par respect pour elle, par pudeur, et bien sûr, parce que nous ne sommes pas seules !
    
    Quelques heures plus tard, je ressors du hammam détendue et régénérée. Pourtant, une chaleur diffuse dans mon ventre m’indique que ma libido a quitté son refuge hivernal et ne me laissera désormais aucun répit !
    
    Aussi, ce soir-là, après plusieurs jours d’abstinence forcée liée à la promiscuité et au manque d’intimité (nous dormons dans la même chambre que ma belle-sœur, et la chambre de ma belle-mère est juste à côté), je n’y tiens plus. Allongée à côté de Hakim dans la pénombre, j’attends impatiemment que tout le monde soit couché. Je guette la respiration calme de ma belle-sœur Shaïna, qui indiquera qu’elle s’est endormie. Elle n’est qu’à quelques mètres de nous, et même si le fait d’être découverts peut être excitant, je ne souhaite pas qu’elle se rende compte que nous faisons l’amour. Ce n’est encore qu’une jeune femme novice en amour.
    
    Brûlante de désir, la maison enfin silencieuse, je commence à caresser le sexe de mon mari, espérant qu’il ne dort pas encore. Il murmure :
    
    — Qu’est-ce que tu fais ? Tu ne dors pas ?
    — Je n’arrive pas à m’endormir, j’ai trop envie de toi. Pas toi ?
    — Mais on n’est pas seuls, tu sais bien. On ne peut pas faire ça ici !
    
    Je décide de ne pas répondre, mais je continue à le caresser sensuellement. Ma main étreint son sexe ...
    ... doucement et commence à aller et venir.
    
    Il me repousse une fois, deux fois… Puis se laisse aller avec un dernier murmure de protestation. Je savais qu’il ne me résisterait pas longtemps.
    
    — Vas-y… mais surtout, surtout, pas de bruit. Si quelqu’un nous entend, j’aurai affaire à ma mère demain, et tu la connais, sous ses manières douces, elle peut être terrible !
    — Ne t’inquiète pas, personne ne se rendra compte de rien. Pas un cri, pas un gémissement. Promis !
    
    Difficile, pourtant, de ne pas gémir sous les caresses appuyées de mon homme, qui me connaît si bien. Je me mords les lèvres pour rester silencieuse.
    
    Mais je ne peux empêcher ma respiration de s’accélérer. Mon souffle se fait plus bruyant.
    
    Son index et son majeur s’enfouissent alors dans ma vulve puis en ressortent, humides. Ils y replongent avidement, longuement, un peu plus profond, tandis que mon bassin se soulève pour aller à leur rencontre. Je leur offre mon sexe, qui n’attend que ça depuis de longues heures et qui n’en peut plus d’attendre.
    
    Quand ma respiration s’accélère trop, Hakim immobilise sa main et me glisse :
    
    — Tu as dit : « Pas un gémissement ». Sinon j’arrête !
    — Mais je ne gémis pas, là… je respire !
    — Alors, arrête de respirer !
    — Si j’arrête de respirer, tu ne pourras plus profiter de ce petit corps lisse et parfumé par le hammam… À toi de voir !
    
    Je pose alors ma main sur la sienne et l’invite à reprendre ses caresses.
    
    Pendant qu’il presse ses doigts sur mon sexe, je dresse ...