1. Gros goujat gâche son amitié pour du sexe (1)


    Datte: 28/08/2020, Catégories: Trash, Auteur: D5F6z8, Source: Xstory

    Avertissement : les opinions des personnages ne sont pas celles de l’auteur, et les notions sexistes avec lesquelles ce texte joue ne le sont pas non plus.
    
    J’avais 20 ans et je n’avais qu’une obsession : me taper de la meuf. Quasiment tout ce que je faisais c’était pour pouvoir serrer une fille et jouir dans sa petite chatte. J’y pensais sans arrêt ! Tout me semblait être une perte de temps si ça ne me permettait pas de gicler. J’avais une pote à l’époque qui était une vraie bonnasse. En même temps, de mon point de vue, le simple fait d’être une femme suffisait à être une bombe sexuelle, au moins jusqu’à ce que j’ai l’occasion de fourrer son vagin. Après l’orgasme, il m’arrivait de voir le bout de viande pour ce qu’il était. Mais objectivement, celle-là était mignonne, parmi les putes qui me mettaient en chien. Elle chérissait notre amitié, et c’était réciproque en un sens, principalement parce que dès que je la voyais, je n’avais que deux mots à l’esprit « vide couille », donc j’adorais garder son gros cul à portée de main, au cas où. Je bandais grave rien qu’à sentir son parfum de pétasse.
    
    Et je me suis paluché des centaines de fois sous la douche en m’imaginant la prendre dans tous les sens. Comme tout le monde dans cette situation, je me branlais en matant des actrices pornos qui lui ressemblaient. Il ne se passait pas un jour sans que je cherche un moyen de la mettre dans mon pieu. Enfin, vous voyez le tableau.
    
    Le jour de mon anniversaire, la pote en question ...
    ... m’a offert quelque chose d’original : cinq faveurs. Cinq « souhaits ». Je pouvais lui demander n’importe quoi « dans la limite du raisonnable » et elle le ferait. Ouais, c’était nul comme cadeau, mais j’ai réussi à en tirer un maximum ! Le jour même où elle me l’a offert, je lui ai fait les yeux doux, comme on dit, et je lui ai demandé un tendre baiser. Elle devait avoir des sentiments pour moi, parce que ça a marché ! Je veux dire qu’on s’est embrassé et qu’après on a « fait l’amour » (je me suis fait plaiz’ dans son minou quoi). Je vous passe les détails parce que c’était juste du sexe classique : je la prends en missionnaire, je la prends en chienne, je lui claque le cul et je finis dans sa chatte. C’est tout, même pas de foutre sur sa gueule de pute. Rien de bien méchant, donc. C’était plié en dix minutes.
    
    C’était bon, hein, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit : je me suis bien soulagé la bite et c’est ce que je désirais le plus au monde, mais ce n’était pas une expérience inoubliable. Ce n’était pas le genre de baise à laquelle je repenserais en me branlant dans les chiottes de mon taf. La suite de notre relation a été bien plus intéressante.
    
    Le truc c’est qu’après ça, tout s’est détérioré entre nous. Je ne sais pas trop pourquoi. Honnêtement, dès qu’elle parle plus de dix secondes, j’arrête d’écouter parce qu’en voyant ses lèvres rouges pulpeuses s’agiter, je n’arrive pas à m’empêcher de l’imaginer à genoux devant moi à me tailler une bonne pipe. C’est dur ...
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