1. Ma voisine de bureau


    Datte: 28/08/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail noculotte, Oral pénétratio, Auteur: Dosto, Source: Revebebe

    — Il faut que je parte, maintenant.
    
    Je suis adossé à la porte d’entrée de son appartement. Elle est là, dans mes bras, vêtue simplement d’une nuisette archi-sexy qui lui couvre tout juste les fesses. Je passe ma main dans ses longs cheveux bruns, attire son visage. Nous nous embrassons fougueusement. Mélange de ces instants magiques que l’on vient de vivre et de la promesse que tant d’autres vont venir.
    
    Elle quitte mes lèvres et vient me murmurer au creux de l’oreille :
    
    — Attends encore un peu…
    
    Doucement, elle entame sa descente. Ses mains me caressent, elle dépose de doux baisers dans mon cou, sur mon torse, sur mon ventre. Arrivée à destination, elle s’empresse de défaire la boucle de ma ceinture…
    
    Pourtant, il n’était pas du tout évident que nous en arrivions là tous les deux !
    
    —ooOoo—
    
    Quelques semaines plus tôt, dans le cadre d’un nouveau contrat, ma boîte m’avait envoyé m’installer chez notre client. Je suis donc « implanté » au sein du siège d’un grand groupe français afin d’y faire mon métier. Comme toujours dans ces cas-là, il faut s’adapter à mon nouvel environnement. Prendre contact avec mes nouveaux interlocuteurs, prendre possession des lieux, nouer des réseaux pour optimiser mon implantation.
    
    Du coup, j’ai beaucoup erré dans les couloirs de cet immense bâtiment. J’ai l’œil baladeur, et il y avait immanquablement matière à mater : c’est fou le nombre de belles femmes qui déambulaient dans ce labyrinthe ; il y avait de quoi tomber amoureux ...
    ... toutes les cinq minutes.
    
    La première fois que j’ai aperçu Karine, j’ai été hypnotisé pas ses fesses. Je n’ai vu que ça. Au bout d’un couloir, moulées dans un jean, ni trop petites ni trop grosses : « de quoi remplir les mains d’un honnête homme », comme on dit !
    
    Elle discutait à l’entrée d’une salle de réunion. Arrivé à sa hauteur, il fallait que j’en voie plus. Au risque de me faire repérer, j’ai tourné la tête. La propriétaire de ce sublime postérieur était une brune aux magnifiques yeux verts. Tout en marchant, j’ai scanné la demoiselle : à peine la trentaine, une bouche pulpeuse, un sourire charmeur, un corps tout en formes. Quasiment mon idéal féminin.
    
    J’ai passé mon chemin en calculant la probabilité de la recroiser un jour et de lui parler ; six cents personnes travaillant ici, mes chances étaient assez minces.
    
    Il n’a pas fallu longtemps avant que le « miracle » ne se produise.
    
    Le lendemain, j’étais sorti pour une « promenade » comme j’en fais plusieurs fois par jour ; à peine passé ma porte, j’avisai une belle brune qui s’extirpait du bureau situé à l’opposé du mien. C’était ELLE ! Nous avancions l’un vers l’autre.« Non, ce n’est pas elle ; je ne suis plus très sûr… » Pourtant, la silhouette était bien similaire à celle qui hantait mes pensées depuis la veille.
    
    Elle me sourit :
    
    — Bonjour.
    
    Je répondis par un sourire idiot et un « bonjour » benêt.« Oui à 98% : c’est elle. »
    
    Elle me dépassa ; je me retournai : quel beau cul !« 100% : c’est elle ! ...
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