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La bourgeoise et le marabout (14)
Datte: 28/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory
... François me dit — Merci Héloïse, veuillez poser le plateau sur la table et nous apporter le champagne s’il vous plaît. Puis, s’adressant à ses trois copains — Ma femme Hélène a dû s’absenter soudainement pour se rendre en province auprès de sa mère souffrante et elle ne rentrera que dans deux jours. Nous employons parfois Héloïse à notre service et elle était libre pour ce soir. Vous verrez, elle est charmante ! Lorsque je reviens avec les verres et le champagne, les trois copains me dévorent du regard. Il faut dire que je me suis fait un petit chignon qui me dégage bien la nuque, je me suis maquillée avec attention mais sans excès, j’ai mis un petit chemisier noir bien serré et presque transparent qui met en valeur ma poitrine, je porte une petite jupe noire très légère qui m’arrive un peu au-dessus des genoux, mes jambes sont gainées de bas gris, j’ai mis des chaussures à talons et mon petit tablier blanc me va à merveille. En remplissant les coupes de champagne, je veille à m’accroupir un peu devant chaque invité de sorte qu’il puisse me mater les jambes et apercevoir le haut de mes bas retenus par de fines jarretières. Une fois qu’ils sont servis, les quatre hommes trinquent « au bon vieux temps » et se mettent à raconter leurs souvenirs de vie en garnison dans une ville allemande en Forêt-Noire. Ils ne font nullement attention à moi et j’effectue quelques allers-retours entre le salon et la cuisine pour apporter de nouveaux plateaux de petits fours salés ...
... qu’ils continuent à ingurgiter en buvant une deuxième puis une troisième bouteille de champagne. A chaque fois que je passe près de lui, François ne manque pas de me flatter la croupe de manière à bien montrer à ses trois amis que je ne suis pas farouche du tout. Par la suite, les copains ne vont se gêner pour me poser systématiquement la main sur les fesses chaque fois qu’ils le peuvent ; allant même jusqu’à remonter leurs mains sous ma jupe jusqu’à mes cuisses lorsque je reste suffisamment longtemps à portée d’eux. Il doit être près de minuit lorsque j’apporte les petites gâteries sucrées. L’alcool aidant, ils en sont à revivre quelques aventures grivoises vécues en Allemagne. Jean évoque leurs sorties du samedi soir dans un éros center de la ville voisine ; haut lieu du plaisir et de la luxure sous toutes leurs formes. Edouard raconte quant à lui les jours de carnaval au cours desquels les Allemandes se libéraient de tout tabou et faisaient le bonheur des militaires français qui appréciaient tout particulièrement leurs seins généreux. Puis Alain s’épanche sur la relation dévorante qu’il entretenait avec la femme de son capitaine ; une femme bien plus âgée que lui et très gourmande. En passant près de François pour débarrasser les assiettes à dessert, il glisse de nouveau sa main sous ma jupe et s’écrie — Oh Héloïse, vous semblez avoir des dessous très sexy. Mes amis et moi adorons les femmes qui choisissent avec soin leur lingerie. — Vous êtes tous les quatre de ...