La nuit où nous avons cédé
Datte: 16/04/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
amour,
cérébral,
Oral
pénétratio,
tutu,
confession,
amourcach,
extraconj,
Auteur: Alineasixty, Source: Revebebe
... été plutôt rapide. Il s’agissait surtout de libérer cette tension qui nous tenait tous les deux, de baiser fort et vite, d’évacuer le désir refoulé. Mais c’était bon, oh oui : nos corps se comprennent, ils sont faits l‘un pour l’autre, cela ne fait aucun doute.
Il est temps maintenant de passer aux choses sérieuses, j’ai promis de te faire perdre la tête, de te faire jouir comme jamais. Les conditions sont réunies, tu bandes de nouveau, waouh, quelle forme ! Le simple fait que je dévore ta queue des yeux te fait monter encore et encore. Je n’ose imaginer ce que ce sera quand je te dévorerai vraiment. Pour ma part j’ai de nouveau moi aussi envie de toi, j’ai envie de ta queue. C’est vrai, elle est belle et elle sait me faire jouir, mais ce que je veux surtout, c’est te voir me regarder faire, je veux garder assez de maîtrise pour te voir perdre pied et te libérer en moi. Je veux envoyer valser tous tes repères bien établis, ta vie parfaite et bien rôdée.
Tu es couché en travers du lit, toujours entièrement nu, et j’ai tout le loisir de détailler ton corps. Il est comme j’aime, élancé, pas trop poilu, ta peau est douce et réceptive. Presque une peau de fille à caresser. Je suis contre toi (oui, tout contre), à ta hauteur, tes yeux ne me quittent pas. J’amorce une lente descente avec ma bouche, sur tes épaules, ton torse presque imberbe. La pointe de tes seins érigée roule et durcit sous ma langue. Je jette de furtifs coups d’œil à ton visage qui change peu à peu ...
... d’expression. Tu fermes les yeux pour mieux te concentrer sur ton plaisir, tu caresses mes cheveux, je sens bien que tu as envie de m’empoigner pour me faire enfourner ta queue si raide afin que je lui prodigue une pipe magistrale. C’est typiquement masculin, mais je le l’entends pas du tout de cette oreille : je te rappelle que c’est moi qui mène la danse et qui imprime le rythme.
Ma langue s’insinue maintenant dans ton nombril parfaitement bien dessiné, elle effectue des cercles concentriques, qui descendent de plus en plus bas, là où palpite l’objet de ma convoitise. Mes doigts caressent cette partie si douce qui me plaît tant chez les hommes : entre le bas-ventre et les cuisses, écrin de leur virilité fragile. Tu as compris que tu ne pouvais lutter, tu me laisses faire, tu te demandes quand même comment cela va finir, car tu n’es pas sûr que je consente à t’accorder ce dont tu as tellement envie.
N’aie pas peur, je vais te le donner, et plus encore, quand le moment sera venu.
Ta queue est gonflée, tendue vers le ciel, elle supplie d’être délivrée, je vois que tu serres les dents, tu te retiens, c’est une douce torture. J’arrive mon amour, je recueille de la pointe de ma langue la goutte qui perle en haut du mât dressé, tu laisses échapper un gémissement à mon contact. C’est parti, ma bouche s’ouvre et ma langue s’enroule, de plus en plus profond. Tu combles mon orifice magique, tu fais de gros efforts pour ne pas bouger et donc ne pas finir tout de suite, ce serait trop ...