1. Au couvent (1)


    Datte: 27/08/2020, Catégories: Lesbienne Auteur: sexag, Source: Xstory

    ... pousse de temps en temps de petits gémissements de plaisir.
    
    Sans dire un mot Sœur Thérèse quitte sa chaise enjambe Angélique sur le lit et en lui enlevant son scapulaire, la prend par les cheveux et plaque sa bouche sur celle de la novice
    
    Les langues s’entrelacent. Angélique semble particulièrement excitée par la situation, enlève à son tour le scapulaire de Thérèse, lui caresse les seins et chacune ôte sa robe dévoilant des corps parfaits et des poitrines débordant agréablement des bonnets de soutiens gorge balconnets.
    
    Toutes les deux couchées, les chattes se frottent, les mains s’activent sur les cuisses, les fesses, les bouches parcourent les corps. Les ébats deviennent endiablés (le diable st bien entré dans le couvent !)
    
    C’est Angélique qui rompt le silence verbal.
    
    « Oui c’est bon Thérèse, j’ai envie de ta chatte tu es trempe de mouille tu m’excites, bouffe-moi toi aussi »
    
    Toutes les deux prennent une position de 69 et Thérèse qui inonde la bouche d’Angélique, hasarde un doigt dans le petit trou de sa partenaire.
    
    « Oui c’est bon aussi Thérèse, prend le cierge qui est sur la table de nuit et enfonce le dans mon cul, lubrifie-le avec ton jus. »
    
    Cela dit, Sœur Thérèse s’exécute et après quelques va et vient dans les entrailles d’Angélique, se positionne pour s’enfiler l’autre bout du cierge dans le con.
    
    Chacune sentant monter l’orgasme prévient l’autre.
    
    « Vas y Thérèse, je sens que je monte, je vais jouir du cul, c’est merveilleux »
    
    « Moi ...
    ... aussi je jouis. C’est bon, c’est bon !! »
    
    Leur jouissance mutuelle est tellement forte que le cierge se casse en deux morceaux.
    
    C’est Sœur Thérèse qui se lève la première et en se rhabillant, met sa culotte par-dessus le morceau du cierge qui émerge légèrement de sa chatte.
    
    « Alors Angélique, êtes vous satisfaite de mon aide à vous déculpabiliser ? »
    
    « Oui Sœur Thérèse, croyez-vous que nous recommencerons ? »
    
    « Il faut que j’en parle à Marie la mère supérieure »
    
    « Quoi ? Vous n’allez pas lui raconter notre entrevue ? »
    
    « Ne vous inquiétez pas, Angélique, Mère Marie est très ouverte pour comprendre la solitude de ses sœurs. Elle a même ses préférences si vous comprenez. »
    
    « J’attendrai de vos nouvelles Sœur Thérèse mais soyez prudente quant à notre secret. Je garde aussi la deuxième partie du cierge en souvenir »
    
    Nos deux complices se séparent avec un léger baiser protecteur sur le front.
    
    Après le départ de Sœur Thérèse, Angélique regarde fixement son missel posé sur la table de nuit. Difficile d’engager une prière tant les images et sensations de la partie qu’elle vient de vivre embrument son cerveau. Après tout, elle a la « bénédiction », si l’on peut dire, de Sœur Thérèse et peut être de la mère supérieure !!
    
    Que veut dire cette phrase : «Mère Marie est très ouverte pour comprendre la solitude de ses sœurs. Elle a même ses préférences si vous comprenez. »
    
    Avant de se rhabiller, du moins de passer la seule robe blanche de tissus épais que ...