1. DEPART EN PERMISSION


    Datte: 27/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... au dessous, dévoilant une taille fine aux abdos biens dessiné. C’est un fille, assez fine, pas très grande, à la chevelure brune mi-longue. Elle peut avoir 24 ou 25 ans. Sylvain, qui a suivi le mouvement, me lance un clin d’œil, preuve qu’il a apprécié la manœuvre.
    
    La donzelle, se rajuste en baissant les bras et s’assied face à Grégoire. Le train s’ébranle doucement, et chacun se replie dans son coin, cherchant le sommeil dans l’obscurité. Après un moment, la demoiselle fait comme nous, et se débarrasse de ses chaussures à talons, pour poser ses pieds sur la banquette, pas très loin de ma tête. La SNCF n’étant pas avare de chauffage, nous sommes en T-shirts. Elle se défait de son gilet, dont elle se sert d’oreiller, après le passage du contrôleur, qui nous a ébloui, en allumant toutes les lumières, que nous éteignons aussitôt après son passage, pour ne garder que la veilleuse . Dans la pénombre, j’ai du mal à trouver le sommeil. Je sens ma voisine gigoter. Quand un de ses pieds s’étend près de mon visage, je pose ma main dessus. Elle ne bouge plus. Retenant mon souffle, je caresse le peton habilé d’une chaussette fine. Je sens ses orteils bouger sous mes doigts. Je m’enhardis et vais chercher le haut de la chaussette que j’enlève sans qu’elle réagisse. Je masse doucement son pied, et je sens son autre pied se glissser contre l’autre. La seconde chaussette subit le même sort et je masse maintenant ses deux pieds. Elle s’allonge sur le dos, et étend ses jambes. Sa partie de ...
    ... banquette est trop court et ses jambes reposent sur l’accoudoir, de chaque côté de ma tête. Je prends mon parti de cette situation et caresse ses jambes par dessus le pantalon, remontant jusqu’aux genoux, puis sur ses cuisses. Elle pousse un long soupir. Je relève la tête, et constate que Grégoire, s’est penché vers elle et caresse sa poitrine, au dessus du chemisier. Elle a les yeux fermés, mais elle ne dort pas, c’est évident.. Les mains de Grégoire, défont deux boutons et se glissent sous le chemisier pour palper les seins de la voyageuse, qui soupire fréquemment. Elle défait un à un les boutons restants et écarte les pans de son chemisier blanc sur un soutien gorge, tout aussi immaculé. Les mains de Grégoire se promènent sur son ventre plat et sur ses seins. Elle se cambre sous la caresse, et attire Grégoire vers elle. Il est à genoux contre la banquette, et elle défait prestement sa ceinture, dégrafe le jean, et faufile sa main dans le slip tendu, pour empoigner sa verge. La situation est chaude, et pour tout dire inespérée.. Ne voulant pas rester de côté, je m’appuie sur l’accoudoir et tends les bras pour atteindre la ceinture de son pantalon. Je le déboutonne, et commence à le tirer vers le bas. Elle soulève les fesses pour m’aider et le pantalon glisse jusqu’à ses genoux . Je remonte mes mains sur ses hanches pour faire ensuite glisser sa culotte. De nouveau elle m’aide en se cambrant, , puis je soulève ses jambes pour dégager les vêtements qui finissent sur le siège, ...