1. Alicia et son papa (5)


    Datte: 27/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    Lundi matin, je me rendis comme d’habitude au travail à vélo. Le plug en métal était si lourd et si épais que je ne l’oubliais pas une seconde, particulièrement quand je m’asseyais sur la selle. J’étais mieux en danseuse, même si c’était un peu plus fatigant. Je rejoignis ma chef de service, une femme grande et maigre, et vis tout de suite qu’elle avait changé d’attitude. Avant, j’étais une jeune employée comme les autres, attentive et désireuse de bien faire. Maintenant, j’étais la fille d’un ami du patron, mais également celle qu’il avait dans le collimateur. Une situation gênante pour tout le monde. D’emblée, elle me toisa et lâcha, dédaigneuse :
    
    — Bonjour, Alicia. Juste à l’heure, je vois.
    
    — Oui, bonjour Marine. Tu as passé un bon week-end ?
    
    — Ça ne te regarde pas. Finis les copinages, je suis ta chef. Donc tu me vouvoies et tu m’appelles Madame. Compris ?
    
    Putain, ils se sont passé le mot ou quoi ? C’est une maladie contagieuse le vouvoiement ? Et elle me fait la gueule, en plus. Moi qui la trouvais sympa, bravo ! De copine potentielle, elle devient chef vénérée et pas marrante. Je ne peux pas dire que j’y gagne au change.
    
    — Ah bon... D’accord, j’essaierai de ne pas me tromper.
    
    — Tu as intérêt à y penser et à te tenir à carreau ; monsieur Rodriguez m’a dit de t’avoir à l’œil et de lui signaler toutes tes incartades. Ce n’est pas un patron facile en général, alors je pense qu’il va t’en faire baver. Allez ! Direction les rayons de légumes. C’est ...
    ... lundi, il faut trier ceux qui sont abîmés.
    
    Un peu oppressée, gênée par le plug, je bossai avec la hantise que Marine ou une autre personne le remarque à travers mon jean : il faisait sûrement une bosse visible au bas de mes fesses. Il y avait tellement à faire, en travaillant à fond, que j’oubliai de regarder régulièrement l’heure. À 10 heures 10, la voix courroucée de Monsieur Rodriguez interrompit notre tâche :
    
    — Bonjour, Marine. Tu savais que j’attendais la nouvelle à 10 heures dans mon bureau ?
    
    — Non Monsieur, elle ne m’a rien dit.
    
    La menteuse ! Elle était à côté de moi quand le patron m’a convoquée. D’accord, j’ai du retard, mais j’ai une bonne excuse. Il y a tellement de travail que je ne peux avoir l’œil constamment sur la pendule.
    
    Oui, je suis naïve parfois. Je décidai de faire profil bas et me lançai :
    
    — Bonjour Monsieur. Je pose ma cagette et je vous suis. Je vous présente mes excuses, mais nous avons beaucoup à faire et je n’ai pas vu l’heure.
    
    — Beaucoup de travail ? Marine ?
    
    — D’accord, il y a à faire, mais Alicia n’avance pas assez vite, il faut que je contrôle sans cesse ce qu’elle fait. Alors on perd du temps.
    
    Quelle salope ! Depuis deux mois, elle me laisse faire toute seule les rayons fruits et légumes. Je bosse bien, elle me l’avait dit vendredi matin. Et maintenant, je ne sais plus travailler. Je suis devenue le mouton noir du service, grâce à Marine. Merci Patron.
    
    — Voyez-vous ça ! Tu as quelque chose à dire, Alicia ?
    
    — Non ...
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