Soirée en tête à tête avec Alban
Datte: 27/08/2020,
Catégories:
hh,
hhh,
fhh,
couleurs,
extracon,
grossexe,
hépilé,
plage,
douche,
hsoumis,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
légumes,
hgode,
hsodo,
sm,
Auteur: Bantou, Source: Revebebe
... bien.
Nous traversons la cour pour rejoindre la voiture, cette fois-ci je suis habillé. Mes voisins sont sur leur terrasse. Ils ont dû m’entendre gueuler mon plaisir. Peu me chaut !
Nous partons vers la maison d’Alban où Bernard, vêtu de son tablier de soubrette (et c’est tout) nous attends. Nous prenons un apéritif, « un médicament » comme l’on dit ici (du whisky avec de l’eau gazeuse locale) qui me chauffe un peu les oreilles.
Nous passons à table sur la terrasse. Bernard nous a préparé des missalas du Niari (un genre de crevette d’eau douce), un poulet à la moambe (à l’huile de palme) avec une purée de patate douce et du « saka-saka (comme des épinards), quelques fruits, un verre de vin portugais et nous passons au salon pour le café.
Je m’installe à côté d’Alban sur le canapé. Il pose sa main sur ma cuisse alors que Bernard amène le café.
— Alors Alexandra, as-tu passé une bonne journée ? me dit Alban en me fixant dans les yeux.
— Oui Alban, c’était une merveilleuse après-midi, pleine de surprises. C’était stressant, mais follement excitant.
— Comme ta petite escapade avec Jean-Gab ?
— Ah, tu sais alors ! Oui, c’était aussi très excitant.
— Tu me surprends de plus en plus, Alexandra, parle-moi un peu de toi, de ta vie intime, par exemple. Tu m’as dit que l’on t’appelait Alexandra quand tu étais jeune.
— Ma mère voulait une fille et m’appelait Alexandra, elle me laissait pousser les cheveux longs qu’elle me coiffait parfois comme une fille. Jusqu’à ...
... l’âge de six ans, elle me mettait des robes, des petites culottes en coton rose et des souliers vernis pour rester à la maison. Cela ne me déplaisait pas trop jusqu’à ce que mon père y mette un terme, mais cette éducation particulière restera ancrée en moi.
À l’adolescence, je passais pour efféminé, au lycée quelques jeunes garçons me draguaient discrètement, mais c’est surtout les hommes mûrs qui me draguaient ouvertement. Je venais à peine d’avoir dix-huit ans quand j’ai connu ma première relation sexuelle, c’était avec un homme de quarante-cinq ans. Il m’a dépucelé des deux côtés, mais il s’intéressait à mon cul plus particulièrement. Il est devenu mon amant et je le voyais très souvent. Il m’a appris à devenir sa maîtresse, pour cela il m’a éduqué comme une femelle. Il m’a tout appris de l’amour au masculin, au singulier comme au pluriel. Cela a duré deux ans.
Alban me prend l’épaule et m’attire vers lui. Je niche ma tête dans le creux de son épaule et me serre contre lui.
— Est-ce que tu es bien avec moi, Alexandra ?
— Oh oui ! Je suis heureuse avec toi (j’avais employé le féminin à dessein), d’être ta femelle et de t’appartenir.
— Voudrais-tu m’appartenir encore plus ? fait-il en me caressant la tête.
— Mon corps t’appartient, que pourrais-je donner de plus ?
— Devenir ma femelle soumise pour le bonheur de satisfaire mes désirs.
Silence de ma part : l’assertion est lourde de sens.
— Sais-tu ce qu’est la soumission ? questionne Alban.
— Oui, un peu. La ...