Premier week-end de liberté
Datte: 25/08/2020,
Catégories:
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Auteur: Mariechriss, Source: Revebebe
... avait été bien occupé par les enfants d’une part, et par Madame Taylor d’autre part qui avait tenu à lui montrer toute la maison et toutes les boutiques où elle avait l’habitude de se servir.
Tout cela laissait Marie-Claude sur sa faim, et elle commençait à rêver à des queues bien chaudes et bien grosses avec lesquelles elle pourrait jouer toute une nuit. Mais la seule queue à portée de main était celle de Monsieur Taylor, et elle était inaccessible. Madame Taylor le surveillait et se chargeait de réduire les envies de Monsieur bien au-delà du raisonnable. Les bruits qu’elle entendait à travers les murs, de l’autre côté du couloir, étaient assez éloquents. Madame Taylor avait du tempérament et entendait être satisfaite par son époux aussi souvent que possible et même davantage.
De temps en temps, Marie-Claude se caressait aussi en faisant des bruits suffisamment éloquents, histoire de « répondre » aux ébats du couple. Ces jours-là, au réveil, quand elle croisait Chriss dans les couloirs de la maison, celui-ci lui faisait un clin d’œil, ce qui l’amusait beaucoup.
C’est dans cet état d’esprit de frustrations accumulées et d’envies non satisfaites que Marie-Claude arriva enfin à son premier week- end de liberté depuis son arrivée à Lyon. Elle décida donc de partir en chasse et de se farcir le plus grand nombre possible de mecs durant ces deux jours. Elle choisit ses vêtements en conséquence : pas de lingerie fine, des chemisiers suffisamment transparents pour avoir ...
... l’air décents, pas de pantalons mais des jupes courtes très moulantes également.
Dans le car qui l’amenait vers le centre ville, les regards des passagers étaient éloquents, mais pas un seul n’osa l’approcher. Ils étaient intimidés par cette jeune fille à l’air si décidé.
— Mince se dit-elle, je leur fais peur. Il faut que je change d’attitude sinon le gibier mâle va fuir.
En descendant du car, elle prit donc un air de jeune fille sage pour marcher dans la rue. Le petit sac à dos qu’elle portait marquait ses seins en les faisant pointer à travers le mince tissu du chemisier. Les bouts étaient dressés et cela se voyait. Sa vulve était humide et elle sentait un doux plaisir monter en elle. Elle entra dans le grand magasin devant lequel elle se trouvait, suivie par deux jeunes gens très intéressés par sa silhouette. Elle les avait repérés et, ma foi, les trouvait plutôt mignons, surtout le black. Les grandes manoeuvres avaient commencé. Elle décida de les laisser faire.
Au troisième étage du magasin, ils se décident enfin à passer à l’attaque Il y a moins de monde et volontairement elle se dirige vers le coin le plus isolé. Ils sont près d’elle et le grand black l’interpelle :
— Salut, comment tu t’appelles ? Je ne t’ai jamais vue par ici.
— Marie-Claude, c’est mon prénom, dit-elle en rougissant légèrement.
Cette demande directe l’a un peu désarçonnée mais elle se ressaisit très vite.
— Et vous deux, c’est quoi vos prénoms?
— Antoine, et voici mon pote Mike, ...