1. L'université : de la soumission à la consécration (14)


    Datte: 25/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: donico, Source: Xstory

    ... situation ne dure guère, puisque l’autre ne tient pas longtemps. A force de la ramoner comme une bête en lui pressant les seins, il se vide bientôt en pleurant presque de bonheur.
    
    Le calvaire de l’humiliation doit être terrible pour Anna, car je vois une nouvelle larme rouler le long de sa joue. Elle qui ne considère les hommes que comme des jouets soumis à ses caprices, voilà que les rôles sont inversés ! La voici souillée comme le dernier des objets, utilisée par des hommes qui ne songent absolument pas à lui faire du bien mais juste à profiter d’elle…
    
    Lorsqu’il se retire, l’heureux jouisseur est suivi par un substantiel filet de son propre sperme qui dégouline le long de la cuisse de ma sœur et accentue encore son humiliation. Il se rhabille, puis il rejoint Léna pour observer son comparse en finir avec Anna.
    
    Je remarque alors que l’étudiant restant a glissé à son tour sa bite entre les seins de mon ainée, qui le suce tandis qu’il s’y masturbe. Qu’il me donne envie le bougre !
    
    D’ailleurs c’est précisément le moment que choisi Camille pour hurler de plaisir à son tour, signe que Sonia ne m’avait pas menti : les incubes sont bien capables de donner du plaisir avec une aisance presque indécente, tandis que leur endurance est sans limite.
    
    Je me retire donc un peu à regret, pas encore près à baisser les armes. Pourtant, en observant le 1ère année jouir à son tour dans la bouche de ma sœur, qui en bouillonne d’indignation, je me dis que ça pourrait bien venir ...
    ... très vite…
    
    Je m’approche donc d’elle d’un pas conquérant, et le regard qu’elle me lance, plein d’espoir, m’indique qu’elle se méprend manifestement sur mes intentions : "non sœurette, je ne vais pas te baiser, je vais juste profiter de ta bouche et de tes seins comme il vient de le faire !"
    
    Je ne perds d’ailleurs pas de temps à lui expliquer, je me contente de prendre la place que l’étudiant vient de déserter. J’enfourne ma bite dressée comme jamais entre ses deux grosses mamelles, puis je lui pose une main derrière la tête pour l’inciter à me sucer en même temps. Mon Dieu que c’est bon !
    
    Je retrouve les merveilleuses sensations que j’avais brièvement expérimentées lors de la soirée durant laquelle elle et Paul m’avaient humilié. Sauf qu’à l’époque, cette chère Anna avait stoppé ce doux traitement juste un peu avant que je ne puisse jouir, assez pour me ridiculiser lors du coït avec Camille qui avait suivi.
    
    Il me suffit d’échanger un bref regard avec elle pour me rendre compte qu’elle se souvient bien de cet épisode, et qu’elle est consciente de vivre le match retour. Son regard soumis devient suppliant, mais elle sait bien que je ne cèderais pas. J’irais jusqu’au bout de mon plaisir, jusqu’à emplir sa bouche de mon sperme.
    
    Le délicat fourreau constitué par les deux gros seins de ma sœur me remplit d’un plaisir intense. Je les presse moi-même pour me masturber avec, ne me lassant pas de les malaxer longuement. Ses lèvres refermées autour de mon gland mettent ...
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