1. L'université : de la soumission à la consécration (14)


    Datte: 25/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: donico, Source: Xstory

    ... fait longtemps. Et j’aimerais bien que tu sois là pour regarder.
    
    Mais quel salopard ! Ça ne lui suffit pas de coucher avec ma copine, il veut en plus m’humilier en me forçant à regarder ? Je prends alors conscience que, malgré mes doutes sur ma moralité ces derniers jours, je suis tout de même très loin d’être comme lui.
    
    Je ne suis pas un modèle de vertu, c’est sûr, mais si j’aime prendre du plaisir, j’aime aussi en donner. Tout se passe entre personnes consentantes, et même si adultère et inceste sont de la partie, le but n’est que l’épanouissement de tous. En cela, je ne suis pas très différent de Nico, il me faut en convenir, mais certainement pas de l’ordure qui se trouve devant moi.
    
    Paul, lui, jouit d’abord du malheur de ceux qu’il prend plaisir à humilier. Il rabaisse les femmes, les traite comme des objets (qu’elles le souhaitent ou non), et il aime tout autant rabaisser leurs mecs. Si ma morale est défaillante, au moins je ne souhaite que le bonheur de tout le monde ! Paul en revanche ne pense qu’au sien, et il asservirait l’humanité entière pour ça, s’il le pouvait.
    
    Son châtiment sera donc à la mesure (ou plutôt à la démesure) de son vice.
    
    Un pâle sourire se dessine sur mes lèvres à cette idée, mais Paul le traduit bien sûr différemment.
    
    — Ça te plairait, hein ? croit-il deviner de ma réaction. Je vais être cool : tu me regarderas baiser ta copine devant toi, et en échange je t’autoriserai à te branler devant nous.
    
    Mais c’est qu’il est magnanime ...
    ... ce garçon !
    
    Je baisse la tête, comme si je n’osais reconnaître mon approbation. Moi aussi je compte bien jouer le jeu jusqu’au bout !
    
    — On va bien s’amuser ! me lance Paul après un dernier regard mauvais.
    
    Il repousse ensuite Sonia, toujours sans tendresse ni le moindre égard pour elle, puis il lui ordonne de se retourner.
    
    — Je veux t’enfiler, salope ! se justifie-t-il seulement.
    
    La jeune femme se positionne alors à quatre pattes, dos à lui, prête à la saillie. Un nouveau sourire me gagne en me disant qu’on y est : ce salopard de Paul vit ses derniers instants de « maître ». Très bientôt, les rôles seront échangés. Quel plaisir ce sera de l’humilier, de le rabaisser, de lui faire payer toutes ses injures et ses coups bas !
    
    Incapable de tenir plus longtemps, il s’insère en elle d’un coup sec, presque brutal. Elle gémit de douleur, mais j’imagine que c’est plus un nouveau bluff à destination de Paul qu’autre chose : ça m’étonnerait que la succube expérimentée qu’est Sonia soit aussi fragile.
    
    Il la ramone quelques secondes en l’abreuvant de divers noms d’oiseaux, parmi lesquelles « pute » et « salope » reviennent tout de même trois ou quatre fois chacun, puis il hurle son plaisir sans retenue.
    
    Il semble un peu pris au dépourvu par la rapidité de son orgasme : sans doute espérait-il nous offrir la prestation de base dans son esprit de macho, soit plus ou moins celle de l’acteur porno moyen. Mais il ne sait pas à qui il a affaire.
    
    Il nous jette un regard ...
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