1. Le peintre et sa muse (6)


    Datte: 24/08/2020, Catégories: Hétéro Auteur: lerelieur, Source: Xstory

    ... plainte de douleur, mais qui rapidement se transforme en miaulement de chatte en chaleur, en plainte de plaisir.
    
    Ousmane se contente de tenir Annie par les hanches et de lui imprimer le rythme.
    
    Je continue de prendre des clichés à tout va, gros plans sur cette chatte écartelée.
    
    Ses grandes lèvres entourent bien cette hampe de chair.
    
    Voyant cela, Ousmane attrape les deux côtés de la culotte fendue et d’un coup sec, il déchire le léger sous-vêtement.
    
    Annie passe ses mains derrière sa tête pour caresser la chevelure crépue de son pourfendeur qui maintenant lui délace les rubans du soutien-gorge et entre deux doigts pince les tétons si sensibles d’Annie.
    
    Il les étire, les fait rouler, les pince.
    
    Les tétons sont durs épais, pas trop longs.
    
    Annie est au paroxysme de son plaisir, je vois cela à son visage et à l’acharnement dont elle fait preuve pour s’enconner jusqu’aux couilles.
    
    C’est le moment que choisit Ousmane pour changer de position, ce qui fait un peu retomber la pression.
    
    Il soulève Annie par les cuisses et l’emmène vers la banquette de pose.
    
    Il la positionne en levrette et aussitôt il recommence à la buriner.
    
    Là, plus de photo car je ne peux plus résister.
    
    Je me déshabille en quatrième vitesse, mon sexe me fait mal d’avoir été compressé dans mon pantalon.
    
    Je passe devant le duo et prenant la ...
    ... tête d’Annie, je frotte mon gland sur ses lèvres.
    
    Annie ouvre les yeux et comprend qu’elle a maintenant deux hommes à sa disposition, elle embouche ma queue jusqu’à la racine.
    
    Ousmane et moi n’avons même pas à bouger Annie fait tout le travail, quand elle avance sur ma queue, elle laisse le gland d’Ousmane au bord de sa grotte, et quand elle me tête le gland, elle a celui d’Ousmane contre sa matrice.
    
    Annie est déchaînée, maintenant, elle est un puits de jouissance dans lequel on va bientôt déverser notre sève.
    
    Et au moment où, en criant, nous jouissons, je lève les yeux, j’aperçois Bernard derrière la vitre de la porte de l’atelier. Il entre, me fait signe que c’était parfait, comme il m’en avait exprimé le désir.
    
    Annie s’est écroulée sur le côté.
    
    Epilogue :
    
    Ousmane est parti se changer, j’ai pris Annie dans mes bras, j’ai dit à Bernard : « Suis moi ».
    
    Et je suis monté jusqu’à ma chambre, j’ai couché Annie, je l’ai recouverte d’un drap et d’une couverture, elle a regardé Bernard et elle lui a dit : « Merci ». Ils se sont endormis côte à côte, nus sous le drap fin.
    
    Je les ai laissés en haut.
    
    J’ai regagné l’atelier et remis mes vêtements, Ousmane était déjà parti.
    
    Je me suis mis à mon ordinateur et j’ai classé les photos du jour. Je les garderai pour les ressortir une autre fois, en d’autres circonstances. 
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