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Datte: 23/08/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... il appartient à mes grands-parents qui sont à la retraite, ils sont au Portugal, ils y vivent toute l’année. Ils ne viennent ici que pour Noël. Ils me laissent occuper l’appartement avec l’accord de mes parents, ils sont rassurés de le savoir habité.
— Et tes parents ?
— Ils ont leur propre appartement à Versailles, mon père travaille à Vélizy et comme il est fils unique et que je suis fille unique, c’est moi qui hériterai des deux appartements.
— Ça change de mon petit studio.
Elle règle l’eau et nous nous glissons sous la cascade. Quand je vois Julie ruisselante d’eau, je me penche sur elle pour poser mes lèvres sur ses seins. Mes lèvres descendent le long de ce merveilleux corps, j’adore le grain de sa peau. Ça se termine par ma bouche sur son sexe pour la faire exploser de plaisir, ce qu’elle me rend immédiatement après être revenue à elle. Un quart d’heure plus tard, nous sommes de nouveau dans le salon. Il est maintenant dix-neuf heures trente, je dois rentrer chez moi. Je quitte Julie non sans un petit pincement au cœur, mais on se revoit demain pour le « body painting ». Nous convenons que j’arrive vers dix heures.
Je retourne chez moi à pied, je veux encore me montrer. Il y a beaucoup moins de monde maintenant et la brise est tombée. Pour compenser, je remonte un tout petit peu ma jupe sur mon ventre. Je sens le bas de ma jupe taper contre le pli qui joint la cuisse aux fesses. A quelques mètres derrière moi, ça doit être intéressant. Je marche ...
... depuis quelques minutes quand j’entends une voix de femme derrière moi.
— Tu as vu ce beau petit cul, j’y poserais volontiers mes mains dessus et toi ?
— Moi aussi, mais j’y mettrais aussi autre chose.
Il y a une femme et un homme. Sans me retourner, je réponds.
— Et qui vous en empêche.
Quelques secondes plus tard, une main douce se pose sur ma fesse droite, la caresse, la soupèse, la malaxe.
— Ferme, douce et bien bronzée, j’adore.
Ma cyprine coule à flots, nous sommes en pleine rue et une femme me tâte la fesse au vu et au su de tout le monde, j’adore. Une autre main, plus grande et plus puissante, s’occupe de ma fesse gauche et la caresse.
— Tu as raison, très douce et ferme, mais moi, j’aimerais aller plus loin.
Je comprends parfaitement ce que veut dire sa réflexion et j’y adhère complètement. Je ne change pas de rythme, mais, connaissant le quartier, je change de destination, je tourne sur une petite rue déserte et me dirige vers une porte-cochère assez enfoncée. Ils me suivent toujours. Je l’ouvre et me plaque contre un mur du porche en leur tournant toujours le dos. Je reste sans bouger les bras le long du corps. Je fais l’innocente.
— Et c’est quoi aller plus loin.
— T’en foutre un bon coup entre les fesses.
— Ah bon, mais avec quoi ?
— Ma grosse bite, tu veux essayer ?
— Elle est si grosse que ça ?
— Si tu veux, tu pourras juger par toi-même.
— Tu as un préservatif ?
— Toujours.
— Alors, qu’est-ce que tu attends, je ...