Ni photographe, ni modèles. Et pourtant...
Datte: 23/08/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alain40, Source: Hds
... penaud : « Émilie, j'ai eu un très gros souci cette semaine. La carte SD s'est bloquée dans l'ordinateur, je n'ai rien réussi à rattraper. Je peux juste te proposer une nouvelle séance ». Elle n'était même pas déçue et accepta volontiers.
La deuxième séance se passa sans aucune gène, sans plus aucune hésitation... Ses poses étaient de plus en plus provocantes et je l’encourageai à n'avoir plus aucune honte, plus aucune retenue.. Elle était aguicheuse, et les yeux libres de tout tissu, devait observer la bosse à hauteur de mon pubis.Je m'approchais de plus en plus d'elle, pour des gros plans toujours plus coquins.
Et d'un coup le temps sembla s’arrêter sur un regard. J'étais évidemment troublé, mais les poses, sa nudité, mon œil sur elle l'avaient également chauffée.
« C'est parce que tu n'as rien tenté sur moi la dernière fois, que j'ai eu envie de refaire une séance . Mais juste une règle... tu poses ton appareil photo sur pied et tu me donnes le déclencheur ».
Je m’exécuta, et en profita pour laisser l'appareil photo sur le mode vidéo...
« Déshabille-toi », m'ordonna t-elle, « et sans aller derrière le paravent ! » rajouta t-elle...
Elle s'occupa elle même d’ôter mon caleçon ; « Il est moins humide que la dernier fois... » me taquina t-elle..
Ma verge se dressa en sortant du boxer et claqua sa joue -clic de l'appareil photo-. Elle la caressa, la trouva douce et la mit en bouche. Sa salive était chaude. Je sentais ma cyprine lubrifier sa langue qui me ...
... léchait. Ses yeux bleux-coquins me lançait des regards allumeurs. Elle adorait cracher sur mon gland pour le branler -clic de l'appareil-.
On échangea les rôles et je pus enfin approcher ma bouche de son duvet orangé, aux poils si fins. Elle sentait la mouille qui arrivait. Ma tête était coincée le long de ses cuisses généreuses de douceur. Les mains agrippées à son cul colorés de tâches de rousseur, ma langue faisait gonfler son clitoris épais. Et plus elle gémissait, plus je la léchais fort. Elle n’empêchait même pas ma main de courir entre ses fesses, au contraire...
Elle sentait bon la fraîcheur de l'être qu'elle était. Elle me tira les cheveux vers elle, m'embrassa à pleine bouche, lécha mon visage et sauta dans mes bras. Elle voulait que je la prenne debout. Ce ne fut pas difficile tant son corps était léger. Elle s'empalait à chaque fois que son cul retombait sur moi.Ses baisers m'encourageaient à la faire jouir.
Elle était sauvage, ses ongles s'engouffraient le long de mon dos. Je lui répondais par de fortes fessées bien sonores-clic de l'appareil-. Et à chaque fois elle me mordait fort les lèvres.
Fatigué de la porter à bout de bras, je la posais directement au sol, la retournait et la laissait à 4 pattes.
Je lui tira les cheveux -clic de l'appareil-, et me fourra en elle. Je la chevauchais pendant qu'elle faisait exulter son clitoris. Mes fessées reprenaient et elle ne pouvait plus rien me faire, soumise à ma cavalerie.
J'avais tellement envie de ...