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La Transition
Datte: 16/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byWalterego, Source: Literotica
Amaury Lemestre venait de fêter ses douze ans lorsque son père quitta le domicile conjugal. Il n'y eut ni scène de ménage ni cris et hurlements ; seulement les larmes de sa mère, Aude et la voix brisée de son père, Stéphane. « Nous savions que cela allait arriver ma chérie. J'ai longtemps espéré qu'il n'hériterait pas du Pouvoir mais je ne le sens que trop bien. C'est encore embryonnaire mais il est déjà trop puissant pour que mon propre Pouvoir puisse l'accepter. Je dois m'éloigner pour son propre bien. Je ne serai pas loin ; nous pourrons encore nous voir ainsi que les filles mais je dois me tenir à l'écart d'Amaury! » Le garçon qui les entendait du haut de l'escalier était pétrifié. Son père adoré ne voulait plus le voir! Qu'avait-il donc fait? Etait-ce à cause de cet incident avec son professeur de français, Mademoiselle Lefranc, qui avait fait une « dépression nerveuse » comme disaient les adultes après l'avoir réprimandé? Ce n'était quand même pas de sa faute si elle s'était traînée à ses pieds pour lui demander pardon! Aude dû faire preuve de trésors de patience pour calmer son fils. Il pleura pendant deux jours d'affilée, communiquant sa détresse à ses deux petites sœurs , Blandine et Céline. Leur mère elle-même ne pouvait retenir ses larmes mais luttait avec bravoure pour se reprendre et rasséréner ses enfants. La crise familiale finit par s'estomper mais Amaury garda longtemps un profond sentiment de culpabilité qui se raviva encore plus lorsqu'il se ...
... rendit compte que sa mère et ses sœurs voyaient encore régulièrement Stéphane alors que lui-même était envoyé tantôt en colonie de vacances tantôt chez les scouts ou chez ses grands-parents maternels. A seize ans, il avait fini par surmonter le traumatisme de la disparition de son père. Il était devenu un grand adolescent plutôt bien fait de sa personne et la coqueluche des filles de sa classe. Ce qui l'isolait de ses congénères masculins, jaloux de son succès et qui le lui faisaient payer à la moindre occasion même si sa robuste constitution lui permettait de surmonter sans trop de mal les bousculades et autres frottements rugueux. Sa mère et ses sœurs l'adoraient tout autant et prenaient bien garde à ne jamais reparler de Stéphane, le traitant plutôt lui comme le chef de famille. Ses succès féminins n'avaient cependant jamais dépassé les flirts poussés. Alors qu'il aurait pu perdre sa virginité avec n'importe laquelle de ses condisciples -- et même certaines de ses professeurs -- féminines, une curieuse sensation d'interdit le prenait chaque fois qu'il se laissait aller à des caresses plus osées avec ses conquêtes. Lesquelles semblaient déçues de son manque d'intérêt pour les aventures sensuelles mais s'accrochaient néanmoins à lui ,lui restant fidèles et loyales même après l'inévitable rupture. Il en était réduit à de longues séances de masturbation solitaire où il rêvait à tous ces visages féminins qui resteraient peut-être à jamais dépourvus de corps. Plus il ...