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Correspondance digitale
Datte: 21/08/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, inconnu, nympho, vacances, plage, forêt, bateau, douche, revede, facial, Oral pénétratio, jeu, init, confession, Auteur: Hug-o1, Source: Revebebe
... magique… et au fond de moi j’en veux encore. Je ne lui dis pas mais je raffole encore de son corps et de ses mots. Juste une fois si il le faut. Mes yeux le dévorent sans que je m’en rende vraiment compte… Il se rhabille, m’embrasse encore une fois puis me prend la main. Je souris de plus belle puis sors de l’eau avec lui. Un petit vent frais s’est invité et me fait frissonner. Je ne m’étais pas tellement rendu compte des conditions météorologiques. J’en profite pour me rapprocher un tout petit peu plus de lui pour profiter de sa chaleur. Nous arrivons finalement au niveau des serviettes. Et ils nous regardent tous avec de grands yeux pleins de sous-entendus. Je ne peux m’empêcher de rire comme une enfant en les voyant tous comme ça… — J’ai l’impression d’être dans « faites entrer l’accusé », dis-je tout en m’éloignant d’Hugo à contrecœur. Je n’ai pas pris de pull. Me voilà prise de regret. Lui : Nous arrivons finalement au bord de l’eau, nos corps humides et encore tout chauds viennent contraster avec la froideur du vent qui s’engouffre sur notre peau, c’est moyennement agréable. Arrivés près des serviettes, mes trois acolytes me regardent avec de grands yeux inquisiteurs mais avec un grand sourire. Sans dire un mot mais avec l’air joueur je m’allonge sur ma serviette et enfile un tee-shirt sans rien dire… Elle : Je lui jette quelques coups d’œil avant de m’emmitoufler dans ma serviette. Je regarde Erwan en souriant. Il semble bouder. Je soupire et ...
... m’étale dans le sable encore un peu chaud de la plage. Mon corps est épuisé mais je suis toujours aussi légère. Tellement légère et détendue que je finis par m’endormir comme ça. Mon souffle est plus lourd. Ni le froid ni le vent ne m’atteignent. Roulée dans ma serviette comme un nem je m’en vais au pays des rêves. Ne me rendant pas du tout compte au bout d’un moment que tout le monde s’en va. Et, connaissant Erwan, il ne s’occuperait pas de me réveiller. Surtout en période de bouderie. Lui : Je suis la tête plantée dans le sable, tentant de calmer encore ce corps légèrement brûlant et mes muscles toujours aussi tendus. Je pense alors que je vais m’assoupir mais c’est sans compter sur Magali, toujours là pour fouiner un peu. Elle me sort de mon sommeil en secouant ses cheveux blonds sur mon dos puis vient s’asseoir devant moi au niveau de ma tête. — Alors.. ? Ça a pris du temps dis donc d’étaler de la crème dans le dos de Manon, dit-elle en souriant. — Disons que je me suis appliqué, répondis-je naïvement. — Ah ça, te connaissant je suis sûre que tu as dû faire les choses bien… j’espère au moins que vous vous êtes bien amusés tous les deux ! Revoyant l’image mentale de Manon face à moi dans l’eau je frissonne… — Ne t’en fais pas pour ça, on a fait une marelle puis on est allé au minigolf, dis-je en rigolant avec elle. — Rassure-toi, on n’était pas trop inquiètes pour toi avec Julie quand on vous a vu au loin passer derrière le bateau… Je rigole un peu ...