Anniversaire à Paris - Histoires de Sexe

Anniversaire à Paris

... percevant une langue qui touche ton petit bouton d’amour. Ton plaisir continue à croître. De nouveau, comme durant la double fellation, il y a quelques minutes, tout s’arrête.

Tu restes avec tes bas, au milieu de la pièce avec le sentiment que plusieurs paires d’yeux observent ta nudité presque indécente. Une traction sur la chaîne t’invite à avancer, ce que tu fais à pas hésitants, tu parcours quelques mètres et des bras t’invitent à t’asseoir au bord d’un fauteuil dans le salon. Le contact de tes fesses sur le cuir te donne un frisson qui parcourt ton corps entier. Tu entends le bruit caractéristique d’un bouchon de champagne et un verre vient se placer contre tes lèvres. Tu goûtes à ce divin breuvage que je te présente en te disant :

— À ta santé, mon amour.

En enlevant le verre, quelques gouttes s’en échappent et coulent sur ta poitrine. Une langue se charge aussitôt de récolter le nectar. Puis une queue trempée dans le champagne force le passage de ta bouche. Cette impression te fait gémir et tu passes ta langue sur le gland épais qui produit un lent mouvement. Pendant ce temps, quelqu’un exerce une pression sur tes cuisses pour les écarter et des mains déroulent tes bas, les ôtent. Il te reste tes escarpins noirs.

Du liquide est versé sur la queue, coule à nouveau entre tes seins. Tu essaies d’en perdre le moins possible pendant qu’une langue suit une goutte jusqu’à ton sexe. Tu continues à lécher ce bâton de cannelle qui parfois quitte tes lèvres et ...

... revient aromatisé au champagne. Soudain, la queue s’éloigne et ne se présente plus. La traction sur la laisse t’invite à te relever. Tu marches toujours dans le noir complet. On décroche la laisse et des bras te soulèvent pour t’étendre sur le lit. Une pression est exercée pour écarter tes cuisses et te voici sur le dos en croix, dans cette chambre de palace, les mains attachées par des foulards de soie aux montants du lit complètement soumise aux désirs des personnes présentes dans la pièce. Tu n’as plus qu’une idée : qu’on s’occupe de ton corps… partout… Puis, on enlève le bandeau et tes yeux doivent se réhabituer à une douce lumière et là… Stupéfaction…

De part et d’autre de toi, à genoux sur le lit, les deux superbes Noirs du repas commencent à te caresser les seins. Tu relèves un peu la tête et que vois-tu ? Tu crois défaillir. La blonde qui les accompagnait est occupée à me sucer le sexe au milieu de la pièce !!! Elle est accroupie devant moi, presque nue ; seul un serre-taille en cuir noir met en valeur une poitrine au même volume que la tienne. Tu es partagée entre le désir et la colère.

Un liquide chaud déposé sur ton corps te ramène à la réalité : une huile douce parfumée d’un subtil mélange de monoï et d’ylang-ylang. Les quatre mains prennent leur temps pour te masser délicatement sans brutalité. Chaque passage par ton clitoris électrise ton corps au rythme d’un fonds sonore invitant à la méditation. Tu ne parviens pas, dans un premier temps, à détourner ton regard ...